KEOMA:Usant de nombreuses références symboliques, le réalisateur nous convie à une experience à la fois baroque et profonde marquée par une atmosphère fortement emprunte de surréalisme.
El Chuncho: Grâce à une mise en scène rythmée et une interprétation inspirée,Damiano Damiani fait parfaitement passer son message cinématographique et politique tirant à boulet rouge sur le western américain bien propre et avec des scènes de fusillades quasiment inintérrompues.

Les masters sont globalement propres même s'il reste quelques traits et poussières , la définition est soignée et la colimétrie idéale.
Une compréssion parfois plus visible sur "el chuncho"

Keoma: bon rendu général avec des dialogues qui ressortent bien
"el chuncho" : Une version française dynamique .
A noter les scènes jamais doublées sont en VO

interviews croisés réalisateur scénariste, un court métrage du petit-fils de CASTELLARI ( réalisateur de Keoma) bandes annonces
un lot de bonus sympa et interressants

Un visuel très soigné de la part de wild side comme à son habitude: illustration, sérigraphie....