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Titre
:
Demonlover
Version :
Française
Auteur de la critique :
Le Haricot Masqué
Date de la critique :
09/01/2005
Cette critique a été
visitée
779 fois.
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Editeur : M6 Vidéo
Année de sortie au cinéma : 2002
Date de sortie du DVD : 18/06/2003
Durée du film : 120 minutes
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Résumé :
A l'aube de la trentaine, Diane De Monx travaille pour une multinationale, le groupe d'Henri-Pierre Volf, qui a racheté TokyoAnime, une société japonaise produisant des hentaï, mangas pornographiques en 3D. Deux firmes, Mangatronics et Demonlover, s'affrontent pour avoir l'exclusivité de ces nouvelles images, fort lucratives, sur Internet.
Mangatronics recrute alors Diane pour torpiller de l'intérieur les intérêts de Demonlover, qui a infiltré ses propres espions. Menacée, celle-ci n'a plus qu'à basculer dans la cyber réalité.
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| Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
 
(0.5/10) |
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Il arrive parfois que par paresse de sortir faire les courses ou par soucis d'economie, on decide de se faire un petit ragout avec tous les restes des derniers repas de la semaine. Et c'est exactement l'impression que l'on a au visionnage de Demonlover qui, a force de vouloir jouer sur trop de registres (high-tech, erotisme, SM, suspens, drame psychologique) fini non seulement par ne rien dire, mais surtout par lasser. Berling est credible mais trop d'autres jouent faux et c'est sans parler de leur diction molle et souvent a la limite de l'intelligible: qu'apprend-t-on dans les ecoles d'art dramatique ? Pour ce qui est de la camera, souvent "a l'epaule", on se demande si les saccades sont "artistiques" ou simplement le fait d'un amateur qui n'aurait pas eu le temps d'apprendre a se servir de sa camera toute neuve, mouvements erratiques garantis, preparez vos gouttes pour les yeux.
Bien que le scenario tienne en trois lignes, il est bourre d'invraissemblances, et s'il est une reussite, une seule dans tout cela, c'est votre sentiment en fin de visionnage: vous vous sentirez aussi paume dans vos chaussettes, que ne le sont les personnages qui peuplent ce film, qui ne devrait pas s'intituler "DemonLover" mais "NavetLover".
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