Ce film démarre avec un générique magistral: les textes en relief sont suspendus entre les gratte-ciels, leur ombre est projetée sur les façades, et leurs reflets est visible dans les vitres. De toute beauté. L'angoisse est palpable, bien que quelques incohérences nuisent au scénario. Par exemple, pourquoi Forest Whithaker attend-il 1h1/4 pour communiquer par intercom alors que c'est lui qui installé le système. Il aurait dû s'en souvenir, non?
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