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Titre
:
Multiplicity
Version :
Française
Auteur de la critique :
romanticolor
Date de la critique :
04/06/2010
Cette critique a été
visitée
100 fois.
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Editeur : Columbia / Tristar Année de sortie au cinéma : 1996 Date de sortie du DVD : 29/06/1999 Durée du film : 101 minutes Acteurs: Andie MacDowell
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Résumé :
Doug Kinney, contremaitre dans une entreprise de construction, est gagne par le stress. Son travail ne lui laisse aucun repit et il a a peine le temps de voir sa femme et ses deux enfants, qu'il adore. Il trouve une solution a tous ces problemes quand il fait la connaissance d'un chercheur en genetique qui lui propose de creer un clone, un autre lui-meme. Aussitot dit, aussitot fait et Doug peut s'occuper de sa femme et de ses enfants tandis que son double travaille pour lui. Mais bientot deux Doug lui semblent insuffisants...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(6/10) |
L’un des rêves de tout être humain, c’est (mis à part arrêter le temps, devenir invisible) avoir le don d’ubiquité et il faut avouer que ce don est assez peu exploité au cinéma surtout dans une comédie.
Multiplicity reprend cette idée de façon humoristique, Michael Keaton (Batman, Julien Lepers) change de registre et démontre une fois de plus qu’il est un excellent acteur, d’ailleurs le film ne tient que grâce à lui car Andie MacDowell joue le rôle de potiche quelque peu. Il joue le rôle d’un homme débordé de tous les côtés, sa vie professionnelle où les 35 heures il ne connait pas, on aurait même tendance à lui en donner toujours plus et sa vie familiale avec sa femme qui veut absolument retravailler alors qu’ils ont deux charmants enfants assez turbulents qui ont une vie assez chargés (base-ball, danse classique). C’est alors qu’il choisit la facilité en se faisant cloner, pas une fois, ni deux, mais trois fois, là où le concept est amusant, c’est qu’ils ont chacun une personnalité propre, l’un est plutôt macho, viril, l’autre est clairement efféminé et le dernier est un attardé mental.
Du coup malgré les stratagèmes de Doug, sa femme côtoie les trois clones sans le savoir et elle s’interroge sur son changement de caractère, est-il devenu fou ?
Malgré des moments savoureux et sympathiques, le film reste très gentillet, très familiale, et parfois un peu longuet comme souvent avec les comédies de Harold Ramis.
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Avis
Technique |
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Avis
sur l'image : |
(2/3) |
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Avis
sur le son : |
(2/3) |
Les effets spéciaux qui consistent à intégrer sur la même image Michael Keaton, deux, trois, quatre fois étant d’une grande innovation pour l’époque, une petite révolution qui inspira plusieurs films.
De nos jours, on voit quelque peu la superposition de l’image, mais c’est infime, ça vieillit plutôt bien.
Au début du film, on craint le pire avec des grains, de la poussière, mais ça passe assez vite, l’image dans l’ensemble est correcte.
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Uniquement en 5.1 pour le français mais le son n’est pas constant, on alterne entre scènes avec un volume assez fort et scènes avec un son en retrait, c’est pénible de devoir jouer avec sa télécommande. La VO offre le choix entre la stéréo et le 5.1.
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Avis
sur les bonus & l'interactivité : |
(0/3) |
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Avis
sur les visuels : |
(0.5/1) |
Menu fixe, moche et avec des couleurs ternes et pour seul bonus la bande-annonce du film en VO.
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Boîtier amaray noir, avec une jaquette jaune et je dois avouer que je n’aime pas cette couleur, elle reprend l’affiche du film.
La sérigraphie avec le rond central non imprimé, reprend cette image, les logos sont peu visibles, le grain est fin.
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