David Cronenberg nous entraîne dans un monde virtuel ou la complexité est de mise.
La ou un Matrix va chercher une excuse d’histoire au service d’action Gun Fight, Cronenberg use de la moindre seconde d’action pour qu’elle soit au service de son histoire, le jeu en sa forme physique est sensuel, voir comment Allegra s’en sert, le pistolet qui tue, on voie le montage dans le virtuel mais est-il vraiment ? assez vite on se demande si on comprend, si le cerveau percute ou si on est a la ramasse ! Il doit y avoir du personnel, le commercial qui ne comprend rien aux jeux vidéo n’est il pas la traduction des producteurs qui emmerdent très souvent les artistes ?! Jude Law interprète a merveille cet homme dépassé par les évènements, la belle Jennifer Jason Leigh impose son côté femme fatale et renfermé, le jeu : une critique envers ses gens enfermés et solitaire croient en leurs vies en travers du virtuel, comme le jeu le montre en travers de Willem defoe : il n’est pas quelqu’un ( important) dans la vie mais le maître dans le jeu d’Allegra , aux travers des mutants découpés pour leurs matières première , voilà une belle métaphore assez dur sur les conditions des traitements des animaux et en même temps des critiques de la société nous somme plongé dans un vrai film d’espionnage , qui est qui ? le spectateur se demande croire en qui ? comme dans la vie au finale, tout de même l’arme est bizarre, on voit avec plaisir Christopher « Dr Who « Eccleston et Willem « Les Rues De Feu » Defoe. La fin est une réussite.
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