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CRITIQUE DVD


ROSEMARY'S BABY - EDITION BELGE




Titre : Rosemary's baby - Edition belge

Version : Benelux
Auteur de la critique : romanticolor
Date de la critique : 15/12/2008

Cette critique a été visitée 175 fois. Aide

 

Editeur : Paramount
Année de sortie au cinéma : 1968
Date de sortie du DVD : 01/02/2006
Durée du film : 131 minutes


Résumé : Malgré les conseils de leur vieil ami Hutch, Guy Woodhouse et sa jeune femme, enceinte, s'installent dans un vieil immeuble new-yorkais considéré par leur ami comme une demeure maléfique. Aussitôt, leurs voisins, Minnie et Roman Castevet, vieux couple d'Europe centrale, imposent leur amitié et leurs services. Si Guy accepte facilement ce voisinage, Rosemary s'en inquiète...
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Avis Artistique
Avis sur le film :   (8.5/10)

Adapté du célèbre roman éponyme de l’écrivain Ira Levin, Roman Polanski par ce film s’offre son premier film hollywoodien et son meilleur film fantastique.
Le film commence comme la plupart des films de cette époque avec ce couple typiquement année 60, avec une femme effacée (Mia Farrow) et relativement soumise à son mari (John Cassavetes) qui décide d’emménager dans un bel appartement de New York malgré le fait que cet immeuble renferme des histoires sordides d’un autre temps.
Assez rapidement, ce couple tranquille fera la rencontre de leur voisin (Signey Blackmer et Ruth Gordon qui a obtenu l’oscar du meilleur second rôle féminin) qui se montrent de plus en plus envahissant, n’ayant quasiment plus aucune vie intime, car se mêlant de tout, même si aucune méchanceté ressort de leur part, ils seraient presque attachant.
Le film change réellement dès le moment où elle apprend qu’elle est enceinte, elle se laisse dominer totalement par ces voisins, jusqu’à prendre un autre obstétricien, le climat change, le malaise s’installe, son mari dépasse aisément les limites (même à cette époque) et semble devenir de plus en plus manipulateur au fur et à mesure qu’il se rapproche des voisins.
Rosemary’s Baby est filmé selon le point de vue de Rosemary, ainsi tout le long du film, l’ambiguïté s’installe, est-elle folle surtout que tout commence dès qu’elle apprend qu’elle est enceinte ? Son mari et ses voisins sont-ils réellement néfastes ?
Roman Polanski nous balade tout le long et nous offre une fin, qui restera dans les anales du cinéma, tout est suggéré ce qui renforce ce sentiment de malaise ressenti pendant le film.
Il a certes vieillit que ce soit niveau vestimentaire où des papiers peints de goût douteux, ainsi que la conception du couple largement dépassé de la femme à la maison avec 4 enfants mais il reste un petit bijou du fantastique, avec l’absence d’effets spéciaux, uniquement basé sur le formidable jeu d’acteur, ce qui le rend unique. Le réalisateur n’a rien laissé au hasard, il parsème son film de tout petit indice.
Une suite existe sorti en téléfilm, racontant la suite de l’histoire, ne l’ayant pas vu, je ne peux donner mon avis, mais ce film n’appel absolument pas de suite.


 
Avis Technique
Avis sur l'image :   (1.5/3) Avis sur le son :   (1.5/3)

L’image est très médiocre, elle est poussiéreuse et souffre de quelques taches, décevant.

Uniquement en mono dans les quatre langues, le doublage français est vieillot et souffre de soufflement, je conseillerai uniquement la VO qui pourtant est plus en retrait niveau dialogue.
La musique est pour beaucoup dans l’ambiance angoissante du film.

Avis sur les bonus & l'interactivité :   (1/3) Avis sur les visuels :   (0.5/1)

Le film se lance automatiquement.
Le menu est fixe et silencieux, néanmoins les deux petits bonus sont très intéressants :
- Interviews rétrospectives du réalisateur et des producteurs Robert Evans et Richard Sylbert (VOSTF, 16 min) : Ils reviennent sur la conception du film, avec le choix des acteurs, leurs scènes préférés, des petites anecdotes…
- Le making of (VOSTF, 22 min) : Il est d’époque avec image en noir et blanc, certaines en couleur, Mia Farrow qui paraît très timide et très peace and love, parlant d’amour des autres, de paix etc…

Boîtier amaray noir, avec une jaquette de couleur verte, la jaquette belge présente le landau sur une sorte de colline avec l’image de Rosemary tenant un couteau, plutôt efficace.
Le rond central n’est pas imprimé et décidément, le noir, le vert et le blanc ne vont vraiment pas ensemble.


Note finale :

  (13/20)


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