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CRITIQUE DVD


LOUIS MALLE - COFFRET 10 DVD




Titre : Louis Malle - Coffret 10 DVD

Version : Française
Auteur de la critique : nicofeel
Date de la critique : 02/02/2008

Cette critique a été visitée 198 fois. Aide

 

Editeur : Arte Video
Année de sortie au cinéma : 1958
Date de sortie du DVD : 17/10/2007
Durée du film : 1018 minutes


Résumé : Le coffret, composé de 10 DVD, regroupe 10 films du cinéaste Louis Malle : Zazie dans le métro ; Au revoir les enfants ; Lacombe Lucien ; Le Feu follet ; Le Souffle au coeur ; Ascenseur pour l'échafaud ; les amants ; Milou en mai ; Atlantic city ; Black Moon.
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Avis Artistique
Avis sur le film :   (9/10)

Ascenseur pour l'échafaud :
Premier film réalisé en 1957 par Louis Malle (qui avait 25 ans à l’époque du tournage et qui avait seulement co-réalisé avec Jacques-Yves Cousteau le film documentaire Le monde du silence), Ascenseur pour l’échafaud est une éclatante réussite.
Adapté d’un roman policier écrit par Noël Calef, le film de Louis Malle est d’une grande maîtrise visuelle, d’autant plus qu’il s’agit d’un premier film. Interprété magistralement par Jeanne Moreau et Maurice Ronet, Ascenseur pour l’échafaud est une œuvre d’une grande noirceur, où la fatalité rôde. Récit de deux amants (Moreau et Ronet, donc) qui décident de se débarrasser du mari encombrant, le film instaure une atmosphère tendue qui ne lâche jamais le spectateur.
Bâtissant le suspense sur la poisse qui poursuit le héros joué par Ronet, Ascenseur pour l’échafaud devient vite étouffant, insoutenable. Alors que le crime devait être quasi-parfait, rien ne se passe comme prévu, entraînant un enchaînement absurde de circonstances qui ne peut que déboucher sur la culpabilité du couple adultère.
Brillamment mis en musique par Miles Davis (improvisée et jouée directement), le film ne laisse aucun échappatoire à ses deux héros, surtout le personnage de Ronet, poursuivi par une fatalité inéluctable.
Rigoureux et tragique, Ascenseur pour l’échafaud est une œuvre envoûtante, qui se rapproche par son ambiance des films noirs américains, d’autant que Louis Malle se garde bien de juger ses personnages.
C’est le premier film de Malle et un coup de maître, qui n’a rien perdu aujourd’hui de son pouvoir de fascination.
9,5/10

Les amants :
Réalisé en 1958 par le grand cinéaste français Louis Malle, auteur des magnifiques Lacombe Lucien ou encore Le feu follet, Les amants fit scandale lors de sa présentation au festival de Venise à cause de certaines séquences soi-disant érotiques (elles paraissent bien prudes aujourd’hui !), d’autant plus que certains pensaient que le jeune cinéaste faisait l’apologie de l’adultère.
Magistralement interprété par Jeanne Moreau, le film vaut bien plus que ce parfum de scandale. C’est un passionnant témoignage sur la vie provinciale de l’époque, que Malle décrit avec toute sa rigueur documentaire, tout en étant un superbe portrait de femme libérée, qui n’est plus victime mais qui choisit son amant.
Dans un ton très Nouvelle Vague française, Les amants se permet de très belles scènes d’amour entre Jeanne Moreau et Jean-Marc Bory qui frappent encore aujourd’hui non par leurs parfum de soufre mais par leur esthétique très soignée. Le visage de Jeanne Moreau a rarement été aussi bien éclairé, lui donnant une expression de plaisir fort réaliste.
Les images de Henri Decae sont d’un raffinement extrêmes, renforcées par la musique de Brahms, ce qui donne à cette liaison adultère une force étonnante.
Film sur l’amour et aussi sur la liberté, Les amants est superbement mis en scène par Louis Malle, parant cette histoire d’une grâce et d’une fluidité remarquables.
Le film est également très critique envers une société bourgeoise particulièrement rétrograde et conservatrice, qui corsète les sentiments au lieu de les faire éclater.
Au final, Les amants n’est pas le meilleur film du cinéaste français (seulement âgé de 26 ans lors du tournage !), mais ce métrage, véritable ode à l’amour, reste une œuvre très poétique qui mérite amplement l’attention et qui fait preuve d’une sensibilité vibrante.
9/10

Zazie dans le métro :
Réalisé en 1960 par un Louis Malle tout juste âgé de 28 ans, Zazie dans le métro est l’adaptation (jugée impossible à l’époque, en particulier à cause des problèmes du langage inventé par Queneau) du célèbre roman de Raymond Queneau.
Comme le dit le cinéaste lui-même, il a substitué un comique de langue cinématographique au comique de langage littéraire de Queneau.
Il en résulte une adorable fantaisie, où Louis Malle joue habilement avec la grammaire cinématographique, multipliant ralentis, accélérés, coupes anarchiques, images incongrues qui surgissent sans crier gare…
Proche de Tex Avery et du burlesque, Zazie dans le métro est d’une fraîcheur incroyable. Le spectateur suit pour son plus grand plaisir les pérégrinations de la petite Zazie (interprétée avec un naturel confondant par Catherine Demongeot) dans Paris.
Rempli de trouvailles visuelles toutes plus folles les unes que les autres, le film de Louis Malle est une sacrée curiosité, sorte de cartoon live totalement déjanté.
Doté de dialogues savoureux, Zazie dans le métro n’hésite pas à parodier (mais avec respect) des films de la même époque (tel le célèbre et magnifique Hiroshima mon amour de Resnais ou encore le tout aussi génial La dolce vita de Fellini) dans certaines séquences hilarantes, comme la scène de la fontaine qui fait écho au chef d’œuvre de Fellini ou certaines répliques de Zazie (quand celle-ci évoque les malheurs de son père) qui détournent délicieusement les dialogues de Marguerite Duras dans le film de Resnais. Et cette dernière réplique, l’une des plus cultes : quand la mère de Zazie lui demande ce qu’elle a fait, celle-ci lui répond : « J’ai vieilli », ramenant le film vers la réalité et le terminant ainsi sur l’entrée dans le monde adulte.
En tout cas, un vent de liberté bienvenue souffle sur ce métrage, qui est certainement le plus drôle et le plus inventif de Louis Malle. Incontournable !
9,5/10

Le feu follet :
Réalisé en 1963 par le grand cinéaste français Louis Malle, adapté du roman éponyme de Drieu La Rochelle, Le feu follet est une des plus grandes œuvres de son auteur.
Magnifiquement interprété par Maurice Ronet dans le rôle d’Alain Leroy, le film est une méditation douloureuse sur le mal de vivre et sur l’acte de suicide.
Pourtant, Alain Leroy a tout pour être heureux mais un vide existentiel s’empare de lui et ne lui donne plus l’envie de vivre. Il constate avec effroi le néant de son existence et ne peut le supporter.
Dans ce film sombre et pessimiste qui se déroule sur une journée, Louis Malle suit sans juger l’errance de cet homme, âme en peine qui ne croit plus à la beauté de la vie et qui décide de mettre fin à ses jours.
Encore jeune mais regrettant déjà la fuite de sa jeunesse et du temps, Alain Leroy veut devenir immortellement jeune en se tuant. La mort, c’est le retour à la vie de Leroy, sa renaissance, le seul geste vraiment courageux qu’il aura fait dans une existence programmée, sans surprise, vide de sens.
Au rythme des sublimes Gymnopédies d’Erik Satie, Leroy erre dans Paris et regarde ce qui l’entoure, comme ces sublimes plans muets de visages de femmes…
Filmé dans un majestueux noir et blanc, Le feu follet crée un malaise insidieux, terrifiant, mais s’autorise d’admirables images poétiques.
Complètement épuré, c’est incontestablement un chef d’œuvre qui mérite d’être vu et revu, à condition de ne pas être hermétique à l’atmosphère lancinante et mortuaire du film, et qui demeure un des sommets artistiques de la filmographie de Louis Malle.
10/10

Le souffle au coeur :
Réalisé en 1971 par le cinéaste français Louis Malle, Le souffle au cœur a de nouveau fait scandale, après celui suscité par ses célèbres Les amants.
Le film traite en effet d’un rapport incestueux entre le jeune Laurent Chevalier, âgé de 15 ans, et sa mère d’origine italienne (interprétée tout en finesse par Léa Massari).
Mais Louis Malle, loin d’une quelconque provocation, offre une œuvre d’une grande sensibilité, jamais complaisante ou vulgaire. Par ailleurs, ce sujet lui permet également d’aborder d’autres thèmes chers au cinéaste, comme l’adolescence et la critique de la bourgeoisie.
Le souffle au cœur est scindé en deux parties : la première partie est une chronique provinciale où le style naturaliste de Malle fait merveille, tandis que la seconde est beaucoup plus étrange, se concentrant sur la relation entre Laurent et sa mère, dans une sorte d’espace-temps purement cinématographique, à l’opposé du réalisme de la première partie.
Cependant, ces deux parties sont liées par le thème de l’apprentissage ou plutôt des apprentissages : celui des idées, celui de la sexualité ou celui encore des sentiments.
Et la fameuse scène d’inceste, traitée très sobrement, n’a pas tant d’importance que ça, puisqu’elle est diluée entre le dépucelage de Laurent par une prostituée et sa relation à la fin du film avec sa camarade de classe.
Malle dépsychologise d’ailleurs complètement la relation incestueuse, qui n’a finalement aucune conséquence sur Laurent, pas même au niveau familial.
Dépourvu de la moindre obscénité, Le souffle au cœur est le récit du passage à l’âge adulte d’un adolescent né au sein d’une famille bourgeoise mais qui s’ennuie du milieu bourgeois. L’inceste avec sa mère, c’est aussi la transgression de ce milieu qui l’ennuie profondément, mais Malle le filme d’une manière si évanescente qu’on peut même se demander s’il a eu vraiment lieu ou si Laurent l’a fantasmé.
Au final, Le souffle au cœur est l’un des films les plus attachants de son auteur. C’est aussi l’un des plus optimistes, malgré le côté scabreux de son sujet (mais que Malle ne traite jamais scabreusement).
9/10

Lacombe Lucien :
Réalisé en 1974 par le grand cinéaste français Louis Malle, Lacombe Lucien est l’un des ses films les plus controversés.
En effet, Louis Malle prend pour héros un paysan fruste qui désire au départ prendre le maquis puis que des circonstances amènent à entrer dans la Gestapo française.
La polémique vient surtout du fait que le cinéaste français avait réduit le choix de son héros entre la Résistance et la collaboration à une question de hasard.
Cependant, Louis Malle ne porte pas de jugement sur Lucien, il observe seulement avec une froide rigueur le cheminement des circonstances qui ont fait de lui un milicien.
Si le propos du film peut paraître choquant, le traitement sensible de Malle aide à supporter cette sordide histoire qui amène le spectateur à s’interroger sur ce qu’il voit.
Certaines séquences sont troublantes et provoquent un profond malaise, comme celle où on peut voir un propriétaire proche des idées du maréchal Pétain qui profite de la situation pour augmenter le loyer d’une famille juive cachée et qui se fait rembarrer par Lucien (alors que celui-ci fait partie de la Gestapo française).
Constamment dérangeant, Lacombe Lucien démontre magistralement, au vu de l’accueil très mitigé du film, que les gens (les spectateurs) ont du mal à accepter certaines choses qui leur semblent amorales, alors que durant l’Occupation, tous les gens (loin s’en faut) n’étaient pas dans la Résistance.
Par ailleurs, la relation amoureuse de Lucien avec la jeune fille juive fait contrepoids aux actions de celui-ci.
Il en résulte une des toutes meilleures œuvres de Louis Malle, qui garde encore aujourd’hui son pouvoir de fascination. D’une troublante ambiguïté, Lacombe Lucien crée un malaise profond car il oblige le spectateur à suivre les agissements d’un obscur collaborateur qui n’est finalement qu’un pauvre paysan perdu.
10/10

Black moon :
Réalisé en 1975 par le grand cinéaste français Louis Malle, auteur des célèbres Au revoir les enfants ou encore Lacombe Lucien, Black moon est une de ses œuvres les plus étranges et les plus secrètes.
Sur une trame énigmatique et symbolique, Louis Malle brode une pure expérience cinématographique qui ne se rattache à rien de rationnel. Il égare le spectateur dans un univers glauque à la limite du surréalisme.
Proche par son approche du très beau film de Chabrol, Alice ou la dernière fugue, le film de Louis Malle est encore plus mystérieux. En effet, Black moon décrit un monde onirique, fantasmatique mais dans lequel la violence sociale et politique est bien présente.
D’une très grande liberté, le film permet à Louis Malle de s’éloigner de toute tentative d’explication rationnelle, faisant plutôt appel à des fantasmes enfouis et à l’inconscient.
Le spectateur y suit une femme-enfant égarée dans une sorte de rêve ou plutôt de cauchemar dans lequel ses fantasmes les plus secrets prennent forme.
Immense échec à sa sortie en salles, Black moon recèle pourtant des trésors de poésie et donne naissance à des images hallucinées et inquiétantes qui emmènent le spectateur derrière le miroir, dans une sorte d’univers parallèle n’obéissant pas aux codes rationnels.
Obscur mais fascinant, ce film très malaisant est une des œuvres les plus personnelles de son auteur, qui y a pris des risques inouïs. Louis Malle a réussi à créer une ambiance troublante dans laquelle le spectateur perd ses repères. C’est assurément un film à découvrir de toute urgence, qui montre un autre aspect, très noir, du travail de Louis Malle.
9/10

Atlantic city :
Réalisé aux Etats-Unis en 1980 par le grand cinéaste français Louis Malle, Atlantic City est une très belle réussite.
Au carrefour de plusieurs genres : polar, comédie sentimentale, fresque sociale, film noir, Atlantic City (le Las Vegas de la côte est des Etats-Unis) adopte un ton très attachant, où le spectateur retrouve avec plaisir l’immense acteur Burt Lancaster dans le rôle de Lou, vieux gangster sur le retour qui va tenter de raviver sa jeunesse après sa rencontre avec un couple qui vient de dérober de la cocaïne à la mafia locale.
Egalement interprétée (superbement) par Susan Sarandon et Michel Piccoli, le film de Louis Malle s’attache surtout à dresser les portraits de quelques personnages paumés mais qui vont essayer de se battre, la trame policière restant secondaire.
Louis Malle aborde avec mélancolie le thème du passé et des illusions brisées. La relation qui va s’établir entre Lou (Lancaster), vieux malfrat qui n’a jamais pu accéder à ses rêves de gloire, et Sally (Sarandon), jeune femme perdue dans une existence morne et sans surprise, devient le cœur de ce film délicat et d’une grande humanité, chacun souhaitant réaliser son rêve. Celui de Lou étant d’être respecté, celui de Sally, de quitter à tout prix la ville et son existence passée.
Mais les rêves ne sont souvent qu’illusoires, et les personnages de Malle en feront les frais, le tout étant de rester humain dans un monde où l’argent règne en maître absolu.
Film désenchanté mais pas désespéré, Atlantic City est assurément l’un des plus beaux films de Louis Malle, l’un des plus émouvants aussi. Il a été très justement récompensé par le Lion d’Or au festival de Venise 1980.
10/10

Au revoir les enfants :
Réalisé en 1987 par le grand cinéaste français Louis Malle, Au revoir les enfants est l’un de ses opus les plus célèbres (et les plus célébrés).
Le film se déroule durant l’Occupation (comme dans le génial Lacombe Lucien du même Louis Malle) et prend la forme de la chronique adolescente (forme chère au cinéaste).
Par le regard de son héros Julien Quentin (Gaspard Manesse), pensionnaire d’une école qui découvre progressivement toute l’horreur de la Shoah et la ,persécution de la race juive, Louis Malle dresse un tableau sombre et réaliste de cette période que beaucoup de français cherchent à oublier.
Comme souvent chez le cinéaste, Au revoir les enfants épouse l récit d’apprentissage (comme dans le très beau Le souffle au cœur) et confronte l’innocence à la barbarie et à ,la folie.
Souvent émouvant, moralement non critiquable, le film déçoit cependant un peu par son manque d’audace, surtout de la part d’un cinéaste qui a toujours été très original dans l’approche de ses sujets.
Au revoir les enfants demeure un très beau film, mais souffre d’un certain académisme. Classique, peut-être trop classique, le film ne surprend jamais et se contente, certes de belle manière, de dénoncer l’horreur nazie mais sans trop approfondir le sujet, ce qui n’est déjà évidemment pas si mal.
Récompensé par le Lion d’Or au festival de Venise 1987 (le deuxième décerné à Malle, après celui qu’il a reçu pour son sublime Atlantic City en 1980), Au revoir les enfants est un film à découvrir mais les fans du cinéaste pourront tout de même relever le manque d’originalité de l’ensemble, même si le film reste passionnant.
8/10

Milou en mai :
Réalisé en 1989 par le grand cinéaste français Louis Malle, juste après le gros succès de son intéressant (mais à mon sens surestimé) Au revoir les enfants, Milou en mai est une œuvre douce-amère, marquée par la nostalgie de la fin d’une époque.
Brillamment interprété par Michel Piccoli dans le rôle d’Emile dit Milou, Miou-Miou et Dominique Blanc, ce film est un concentré d’émotions, qui utilise intelligemment les ressorts de la chronique familiale.
Sur une trame qui n’a rien de neuve, à savoir le rassemblement d’une famille qui, après la mort d’une vieille parente, est visiblement plus préoccupée par l’héritage ou l’actualité politique (le film se déroule en mai 1968, période de troubles très connue), Louis Malle dissèque avec la rigueur d’un entomologiste les comportements des membres de la famille et les confronte aux troubles politiques qui touchent de plein fouet la France à cette époque. Il brosse une galerie de portraits très justes, montrant les hommes avec leurs qualités et leurs défauts.
Comme dans le magnifique Atlantic City, le cinéaste observe sans mépris ses personnages emportés par un rêve illusoire, utopique, qui restent dans leur bulle, à l’écart. Ceux-ci ne prennent pas conscience de l’importance des événements socio-politiques de l’époque et se trompent sur leur signification.
Pourtant, le décès de la parente marquait clairement la fin d’une époque. Cela dit, certains des protagonistes changent malgré tout et peut-être redonnent un sens à leur vie oisive et neutre.
Finement observé, Milou en mai est un très beau film qui épouse le mouvement de la vie, entre rires et larmes, égoïsme et tendresse, tout en dressant en filigrane un saisissant témoignage de cette époque troublée, justement par le biais de ses personnages qui semblent étrangers à l’actualité politique mais qui ne peuvent totalement l’ignorer.
9/10


 
Avis Technique
Avis sur l'image :   (2.5/3) Avis sur le son :   (2/3)

Une image restaurée de très bonne qualité sur les 10 films.

Un son en mono tout à fait correct, qui ne souffre d'aucun défaut sur les 10 films.

Avis sur les bonus & l'interactivité :   (2/3) Avis sur les visuels :   (0.5/1)

Les bonus sont les mêmes que ceux sortis par Arte Video dans chaque DVD en individuel.
Ils sont globalement bien fournis, sauf sur le DVD de Black moon où on a seulement droit à une interview de Louis Malle de 6 minutes.

On a droit à un coffret en carton très léger qui contient les 10 DVD (dans des boitiers amaray) des films de Louis Malle sortis par Arte Video. Le coffret représente à l'avant les affiches des 10 films et à l'arrière on retrouve directement les 10 DVD. De chaque côté du coffret il est indiqué "Le meilleur de Louis Malle" avec le titre des 10 films contenus.


Note finale :

  (16/20)


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