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CRITIQUE DVD


LA MONTAGNE DU DIEU CANNIBALE




Titre : La montagne du dieu cannibale

Version : Française
Auteur de la critique : ittogami
Date de la critique : 08/11/2007

Cette critique a été visitée 276 fois. Aide

 

Editeur : Neo Publishing
Année de sortie au cinéma : 1978
Date de sortie du DVD : 11/09/2006
Durée du film : 103 minutes


Résumé : La région la plus réculée de la Nouvelle-Guinée. Malheur à qui s'y risque, tout particulièrement au coeur de la jungle hostile de Marabata, terrain de chasse privilégié des Pukas, une féroce tribu cannibale. Sur les traces de son mari disparu, Susan Stevenson y pénètre cependant. Accompagnée de son frère Arthur, de l'aventurier Edward Foster et de quelques indigènes, elle affronte mille épreuves, mille dangers, avant que les Pukas ne se saisisse d'elle pour la donner en offrande à leur dieu affamé de chair humaine...
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Avis Artistique
Avis sur le film :   (7/10)

Pendant les années 70, le cinéma Italien prouve son excellence dans tous les genres, westerns, giallos, polars, érotiques, horreur etc. Des genres populaires, dont fait partie cette catégorie de film de cannibales. C'est donc à Sergio Martino (s'étant lui aussi illustré dans différents genres) que l'on doit cette montagne du Dieu Cannibale, tourné 2 ans avant le fleuron du genre, le tétanisant Cannibal Holocaust.
On ne peut pas nier, à la vue de la montagne...que celui-ci réunit tous les ingrédients et poncifs du genre, respectant à la lettre un cahier des charges se résumant à 4 mots: cannibale, gore, sexe, exotisme. Des ingrédients, qui s'ils sont présent -et c'est le petit reproche-, se font particulièrement rare au début du film. Le spectateur à droit pendant une bonne demi-heure à de l'éxploration parsemée de quelques massacres d'animaux, forcément condamnables mais parfaitement représentatifs de cette époque bénie et révolue du cinéma d'éxploitation, ou tout était permis et ou l'équipe de tournage ne connaisait pas les sens du terme "too much". De la jungle donc, des serpents, des tortues et des singes, mais pas beaucoup d'autochtones anthropophages, ni de poitrines furtivement dévoilées. Heureusement, notre patience est récompensée, car si le premier tiers du métrage manque un peu de tonus, le scénario offre bientôt ce que chaque fan de bis est en droit d'attendre, du gore (effets réussis et variés, émasculations, éventrements etc...), et surtout une Ursula Andress, jusque-là sous éxploitée, qui daigne enfin tomber la chemise et dévoile ses formes avantageuses. Il est à signaler d'ailleurs, une scène parfaitement inutile dans l'intrigue, mais forcément très réjouissante pour nous, montrant Ursula Andress nue (première bonne nouvelle), se faisant tartiner le corps d'une substance inconnue (deuxième bonne nouvelle) par deux femmes nues elles aussi (3ème bonne nouvelle et alléluia!).
Problême de rythme donc, mais des scènes tellement bis, (voir z, avec les masques hilarants de certains cannibales), que n'importe quel amateur du genre ne peut que trouver son compte. En effet, Ursula Andress en sueur et nue (vous noterez que je tiens particulièrement à ce point là) dans des décors naturels magnifiques et traqués par des cannibales rigolos, une certaines idée du paradis.


 
Avis Technique
Avis sur l'image :   (2.5/3) Avis sur le son :   (1.5/3)

L'image rend justice au travail de Sergio Martino, et rend sa beauté d'origine aux décors naturels du film. Pour ce genre de film, c'est assez rare pour être souligné.

Version française et anglaise sous-titrée disponibles, toutes deux en 2.0. Pas de quoi faire les difficiles sur ce genre de film.

Avis sur les bonus & l'interactivité :   (3/3) Avis sur les visuels :   (1/1)

Neo Publishing nous gâte avec plusieurs bonus. En dehors des classiques filmos, bande-annonce et fiche technique, viennent s'ajouter un diaporama, une interview de Sergio Martino et un documentaire recueillant les propos de 3 membres de l'équipe (directeur de la photo, décorateur et responsables des sfx).

Ursula Andress à l'honneur sur la jaquette (forcément peu habillée)dans un style old school cher à Neo publishing, qui m'enchante toujours.


Note finale :

  (15/20)


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