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DVD A LA LOUPE


SAW 4 - EDITION BELGE

Lui écrire Cole

Saw 4 - Edition belge DVD sorti le 01/09/2008


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Editeur non référencé
Distributeur :
Editeur non référencé

Date de sortie en salle: 21 novembre 2007
Nombre d'entrées : 520 000 env.

Durée du film : 1 h 28 min.

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Nombre de visites :
3146


   

Le Film : 7/10

Résumé : Jigsaw et Amanda sont morts. Mais au cours de l'autopsie de Jigsaw, le médecin légiste découvre une nouvelle cassette. L'inspecteur de Police Hoffman ne tarde pas à arriver. Pendant ce temps, deux profileurs chevronnés du FBI, l'agent Strahm et Perez, enquêtent sur le meurtre de l'inspectrice Kerry et viennent aussi pour aider l'inspecteur Hoffman. Lors d'une découverte macabre ils vont tenter de rassembler les pièces du Puzzle pour enfin comprendre le mécanisme du tueur au puzzle. Le commandant Rigg le dernier officier du Swat épargné par Jigsaw est complètement traumatisé à la vu de ce nouveau corps torturé, lui qui souhaite retrouver vivant l'inspecteur Matthews, qui a disparu depuis six mois. Du coup le commandant Rigg se retrouve piège pour sauver son vieil ami. En cherchant Rigg à travers la ville, les deux profileurs vont découvrir des cadavres et des indices qui vont les conduire à l'ex-femme du Tueur, Jill. L'histoire et les véritables intentions de Jigsaw vont peut à peut être dévoilées ainsi que ses victimes passées, présentes et futures dans un mécanisme machiavélique....

Avis : L'histoire du Film : Voici un nouvel épisode de Saw, ce film opère un tournant définitif dans le thème du concept forcement en fiction grand public, plus de justifications de l'œuvre si dérangée à l'origine. En effet c'est le 1er film qui n'est pas écrit par l'un des 2 auteurs de la saga. Ce film est tourné rapidement en 32 jours avec une petite nouveauté, il n'y a plus de transitions numériques dans les effets de camera, les décors sont biens meilleurs que les précédents films et ils sont réalisés de manière à obtenir la scène en 1 seule prise. C'est aussi le 1er de la série à ne pas commencer par un piège. Et c'est aussi un budget bien plus conséquent que Lionsgate concède, 10 millions de $. Cette épisode tente de percer le grand public avec une ambiance classique mais toujours aussi malsaine, usant surtout de la notoriété et des éléments clefs de la Saga, il reste quand même interdit aux moins de 18 ans dans de nombreux pays...

L'équipe du Film : D'abord, les 2 créateurs James Wan et Leigh Whannell, n'interviennent qu'en Producteur exécutif, les auteurs sont Patrick Melton et Marcus Dunstan (auteurs des Feast). La réalisation reste Daren Lynn Bousman, qui refusera dans un 1er temps puis accepte pour l'un des éléments irréalisable du scénario... Coté effets spéciaux c'est John MacGillivray (La dernière cible, American Psycho, L'élue, Détour Mortel) et John Campfens aux effets visuels (Darkman 2 et 3, Scanner 3, Mimic, Land of the Dead, Horribilis Saw 3, 5, 6) . Coté Acteur, on retrouve Costas Mandylor (The doors, Ken, Saw 3), et encore Tonin Bell dans le rôle de Jigsaw et l'apparition des acteurs et actrices des épisodes précédents...

Cet épisode joue sur son concept cruel à fond, il s'agit tout comme le 3 d'un seul piège parcourant les différents éléments malgré la disparition de Jigsaw. Sans être plus violent et sans être plus original et surtout en poussant «trop» le phénomène s'essouffle ou mieux redémarre. Ce film reprend trop d'éléments, ce coktail ne vient pas à l'essentiel de la saga, malgré des passages intéressants. Au final, il s'agit d'une transition qui clôture l'œuvre du tueur au puzzle, et qui pose les éléments pour les futures suites. Une vision différente plus linéaire mais moins intense.

Le Film : Toujours les superbes logos éditeurs, et le générique dans la foulé, et pour changer une longue scène sur l'autopsie très violente de Jigsaw, dans la parfaite continuité de l'épisode 3. L'autopsie est insoutenable et lance admirablement bien le coté «saignant» du 4eme épisode. Alors qu'une pièce du puzzle est découverte dans le corps de Jigsaw faisant la transition avec la fin du précédent et lancer ce film. Puis transition habituel nous voici dans un piège machiavélique, ultra violent et bien long.

L'esthétique du film a l'air bien plus intéressante avec des effets lumineux, et des couleurs plus chaudes mais surtout une meilleure durée des scènes. Le titre apparaît et nous voici revenu exactement comme dans le 3ème à l'enquête avec exactement les mêmes personnages en clin d'œil ! Là où tout commence pour l'après Jigsaw et Amanda alors que l'histoire semble aller vers une vengeance contre l'obstination des policiers, du Swat, des inspecteurs, et des agents du Fbi.

Puis la femme des rêves Jigsaw est en fait son ex-femme, alors que l'agent du Swat trouve dans le même temps son piège et la marionnette réapparait. La tension monte avec des transitions habiles entre policiers et le piègés, la violence est aussi assez soutenu avec un bien meilleur rythme plus long. Pourtant l'histoire exploite ce qui fait le succès des précédents Saw, car ce film ne se contente que de nouveaux détails qui amènent son lot de flashbacks afin de relié les histoires et finir les 3 premiers...

Une succession des recettes de la Saga, avec une image plus soignée, malgré une certaine absence d'intérêt pour d'autres personnages depuis la mort de Jigsaw. Apparemment Jigsaw «était» décidé a en finir avec l'enquête, car au même moment le jeu avait en fair commencé, et le FBI décide d'interroger une nouvelle fois la femme de Jigsaw, en continuant sur un nouveau piégé... L'interrogatoire nous utilise un flashback lorsque Jigsaw n'était pas encore ce tueur machiavélique et montre enfin l'élément déclencheur de toute l'affaire, lors d'une scène assez choquante. Donc vous l'avez compris un épisode riche en détails mais peux d'originalités en fin de compte. Il s'agit surtout d'un épisode de transition.

Pendant ce temps les pièges se referment, le rythme accélère vers le dénouement dans un univers malsain ce qui pour clous du spectacle part dans 2 directions distinctes car ca devient très compliqué, très dangereux et très violent. Les détails de Jigsaw se précisent avec son tout 1er piège . Après ses éléments nous voici en route pour le dénouement qui boucle de façon inattendue sur la fin du 3, mais malgré cette débauche sanglante et son style fidèle à la série, le film tombe dans une facilitée d'enchainements qui nous livre de façon surprenante le nouveau tueur et lance les éléments du prochain.


L'Image : 2/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 1.85:1

Avis : La qualité de l'image du Dvd est sans défauts majeurs, l'image est stable et pas de pixels qui se ballades, par contre niveau compression certaine zone laissent apparaît des points plus gros et on le voit nettement lors d'une pause. Car coté mouvement de caméra sa déménage. Coté film une meilleure ambiance que les précédents grâce a l'utilisation de couleurs plus vives.


Le Son : 2/3

Détails techniques : 5.1 Dolby Digital en Français – 5.1 Dolby Digital en VO - Sous-titres : Français.

Avis : La qualité du Son c'est identique que l'image pas de défaut, la bande son est fidèle au film, le tout reste assez sobre... Un bon Punch avec des thèmes sympathiques, des bruitages un peu trop souvent accentués... Alors que l'effet Surround lui est étouffée par l'ensemble.


L'Interactivité : 1.5/3

L'ergonomie des menus :
Le Dvd démarre sur le Menu principal, composé d'une image fixe, avec en transparence l'animation d'une partie des scènes clefs, ainsi que le thème du film, on a accès au film, à la configuration et aux chapitres. Le menu configuration est en fait les choix de langues, ou apparait une image fixe sympathique et sur lequel on peut envoyer le film de ce menu, le menu chapitres contient 12 chapitres qui tiennent sur une seule page, sans titre et sans animations dans les vignettes, les sous menus n'ont pas de sons. L'ergonomie est impeccable.


Les bonus :

Concernant les bonus de cette édition :

  • Aucun BONUS.

  • Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Un boitier classique, la jaquette reprend à l'avant l'affiche dans son sa plus simple représentation, qui est en fait l'une des 1ère affiche teaser française, avec le titre et le chiffre romain IV dessiné par un scalpel et un ciseau. Une affiche moyenne par rapport a l'affiche cinéma en France, l'affiche cinéma Us ou la magnifique affiche canadienne... L'arrière est tout simple avec 2 images et en fond une piégé qui relève le coté classique, et beaucoup de caractéristiques... La mention moins de 16 ans est très discrète !



    La sérigraphie

    La qualité de la sérigraphie est fidèle a l'affiche de la jaquette, très simple. La qualité de l'impression est correcte mais tous juste assez épaisse ce qui la rend limite transparente sous une forte lumière. Logo discret, mentions avec de gros caractères parfaitement lisible et peut discrets.


    Note Finale : (13/20)

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