Gaspard Noé comme à son habitude ne va pas faire que des heureux.Elevé aux films de Bunuel et avec Taxi driver,Noé traite le cinéma à'inverse de Jean-pierre par le bas. Les deux approches sont trés intérressantes mais celle de Noé reste plus casse gueule. Ici on est dans la peau d'une pourriture. Une purriture qui durant plus d'une heure nous donne sa version du monde,de la france, de l'amour et de la morale.Philipe Nahon est époustouflant dans ce film que le non moins talentueux Albert Dupontel résume si bien, "abjectement sublime".

Image crasse et sombre mais c'est le réalisateur qui le veut, ici ce n'est pas un probleme d'encodage.

Ici plus qu'une question de son il est question de voix, les monologues intérieur du personnages nous étant rendu en permanence. Plus que pour la qualité c'est pour le concept que le son est ici noté.

Le court métrage Carne en supplément,les notes d'intentions du réalisateur qui permettent de mieux comprendre le pourquoi du comment, une bande annonce qui vous plonge directement dans l'ambiance et les critiques pas toujours trés tendre.

Visuel simple mais c'est normal vu la teneur du film.

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