Avec ce film ( aussi apellé "Christina, princesse de l'érotisme" ), Jess Franco signe une oeuvre différente de ce qu'il a l'habitude de nous proposer. En effet, avec l'histoire de cette jeune femme qui revient chez des parents à la mort de son père ( assassiné ? ),Le réalisateur s'intéresse à ses personnagesau travers de portraits amusants, Howard Vernon, toujours excellent y est un pianiste désabusé très philosophe, il faut voir cette cousine répondre à un cantique de façon surréaliste tout en s'occupant de ses ongles de pied et Jess Franco lui-même s'offre le rôle d'un valet s'endormant à la lecture d'un testament. Bien entendu, le réalisateur s'atarde longement sur la plastique de son actrice principale, et ses rêves totalement onirique sont d'une béauté et d'une poésie étonnante, tout comme le final, où le titre prendra sa justification . Totalement à part, ce film est la preuve de la diversité du talent de ce réalisateur souvent décrié, à tort !
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