Z est une simple fourmi. Mais la vie de Z bascule le jour où il rencontre par hasard la belle princesse Bala. Pour la séduire, il convainc son meilleur ami, la fourmi soldat Weaver, de lui laisser sa place pour un défilé devant la famille royale. A partir de là tout s’accélère et au cours d’aventures mouvementées, Z affrontera les térribles termites, partira à la recherche du paradis perdu « Insectopie » et se mesurera enfin au général Mandibul, un tyran souhaitant liquider la colonie actuelle pour en recréer une à son image. Autrefois anonyme ouvrier, Z possède en réalité l’étoffe d’un véritable héros .
Pour son premier long métrage d’animation en image de synthèse, Dreamworks à frappé fort et montre à Pixar qu’il va falloir bien se tenir pour la suite. Par contre l’humour aurait pu ètre beaucoup plus poussé, mais il était hors de question pour Dreamworks d’adresser son film qu’au jeune public, mais humour ne rime pas forcément avec jeune public, hic. Le graphisme du film est particulièrement réussi à l’image des deux mondes distincts dans lesquels se déroule l’histoire de Fourmiz. Le monde sûr et protégé de la colonie, sous terre, et le monde immense et imprévisible du dessus. Le contraste est saisissant entre le monde souterrain et celui de la surface, il est évident qu’à l’intérieur de la colonie, c’est un monde de teintes neutres et de lumières atténuées, tandis qu’à l’extérieur, tout est lumineux et coloré, d’une diversité qui n’existe pas dans le monde souterrain plus homogène. A noter aussi que la fourmilière se trouve en fait dans Central Park à New York avec une vue dans le plan final sur New York et le World Trade Center, pas encore détruit à l’époque où était sorti le film en salle ; 1998.
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Rentrez dans le monde étonnant de Fourmiz et découvrez les spectaculaires images de synthèse du grand film d’animation de Dreamworks à la fois original, drôle et qui fourmille de stars. Vous Z’aller adorer !
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