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Si les scènes de tuerie et de cannibalisme sont aussi directes que demonstratives, elles ne sont en rien à côté des massacres non simulés d'animaux qui vous feront immanquablement détourner le regard avec effroi. Le retournement de situation qui intervient en plein milieu du long métrage vous donnera certainement une vision très ironique de la "supériorité" de l'homme moderne sur le primitif: nous subissons simplement ce que nous infligeons aux autres. Tu parles ! Résultat: culte pour certains, à vomir pour d'autres. Moi, je suis toujours aux WC.
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