Encore un chef d'œuvre du Maître du suspens.
Il faut d'ailleurs noter que ce film est un "auto-remake" (on n'est jamais mieux servi que par soi-même...) de la version sortie en 1934.
Dans ce film encore, Hitchcock confronte un quidam (le magnifique James STEWART) à une situation dans laquelle il n'aurait jamais dû se trouver.
Doris DAY est épatante, dans le rôle d'épouse meurtrie, mais acharnée à dénouer les fils du drame, et ainsi retrouver son fils kidnappé, afin que le couple qu'elle forme avex James STEWART ne révèle pas un secret que, tout à fait par hasard, leur a confié Daniel GELIN, dans le rôle d'un espion français.
Que dire d'autre si ce n'est, encore et toujours, louer la maîtrise technique, narrative d'alfred HITCHCOK.
Pour la petite histoire, il utilise pour la première fois dans un plan une combinaison "Travelling arrière et zoom avant". L'effet est saisissant.
Surveillez une scène d'attroupement, et vous pourrez apercevoir un certain crâne dégarni.

Ah ! Le technicolor !
Une très bonne restitution des couleurs et des contrastes, surtout dans les scènes se déroulant à Marrakech.

sans surprise, une très bonne définition.

Un making-of très intéressant, avec la fille du Maître.

C'est le visuel de la "collection-HITCHCOCK.
Pourquoi une photo noir et blanc sur la couverture, alors que le film est bien en couleurs ?

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