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Dernier film de Judy Garland avant la rupture de son contrat avec la Metro, Summer stock allie la perfection du style de la maison à la volonté de renouvellement du genre qui marque les entreprises des années 50. Dans le genre du musical intime le film est une réussite et Gene Kelly n'y est pas étranger. Sa danse sur les lattes et les journaux est un des sommets de la "fausse improvisation", à partir d'une idée simple, qui met le plus banal objet à contribution. La fin du film, plus conventionnelle, présente cependant quelques sketches étonnants comme le numéro comique de Kelly et Silvers, où ils font appel à l'ensemble de la gent canine pour former un choeur cacophonique.
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