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Titre
:
L'illusionniste
Version :
Française
Auteur de la critique :
nicofeel
Date de la critique :
29/03/2011
Cette critique a été
visitée
161 fois.
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Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport Année de sortie au cinéma : 2005 Date de sortie du DVD : 18/09/2007 Durée du film : 110 minutes
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Résumé :
Dans les années 1900, Vienne est une société en pleine mutation, partagée entre tradition et modernité et prête à céder aux plus troubles fantasmes. C'est sur cette scène mouvante que surgit un jour le charismatique et mystérieux illusionniste Eisenheim. Se targuant de pouvoirs surnaturels, celui-ci présente des tours de magie si brillants que le bon peuple et l'aristocratie lui font chaque soir un triomphe. En peu de temps, l'Illusionniste devient l'homme le plus célèbre de la ville, l'incarnation vivante d'une magie à laquelle personne n'osait plus croire. Mais la gloire d'Eisenheim est intolérable au Prince héritier Leopold, dont la popularité décroît à mesure que grandit celle de ce showman consommé dont nul n'a jamais su percer les secrets. Rationaliste convaincu, avide de pouvoir, le Prince a une raison supplémentaire de jalouser Eisenheim : ce dernier fut le grand amour de jeunesse de sa fiancée, la belle Sophie von Teschen, qui nourrit encore pour lui de très tendres sentiments. Décidé à écarter ce rival, Leopold charge son homme de confiance, l'inspecteur Uhl, d'enquêter sur l'Illusionniste et de dévoiler ses impostures. Une partie serrée s'engage entre les deux hommes, aux frontières de la magie et de la raison, de l'amour et de la dévotion, du pouvoir et de la corruption. Et ses résultats prendront de court tous les protagonistes...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(7/10) |
Réalisé par Neil Burger, L'illusionniste s'intéresse à un certain Eisenheim (Edward Norton), illusionniste de profession, qui réussit à faire des tours réellement prodigieux comme créer un oranger à partir d'une simple graine, créer un double qui tue pour de faux une personne ; et enfin communiquer avec des gens passés dans l'au-delà. Tout ceci est énigmatique et apporte un vrai plus à cette histoire qui serait sinon assez ennuyeuse. Car reconnaissons-le, l'histoire autour du futur empereur d'Autriche n'est pas passionnante. On pourra tout de même apprécier le fait que cet illusionniste convoite la même femme que l'empereur.
Dans ce film, outre Edward Norton qui porte le film à bout de bras, on retrouve Jessica Biel en duchesse convoitée et Paul Giamatti.
A noter que la photographie a été très travaillée pour donner un aspect « inscrit dans l'histoire" au film .
Et la musique symphonique, signée Philip Glass, apporte un plus indéniable, permettant de rester éveillé dans les moments les moins passionnants de l'histoire.
On appréciera le final du film, qui s'il est un peu trop expédié, explique les tenants et aboutissants de toute cette histoire. En synthèse, voilà un film correct, sans plus.
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