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Titre
:
El cielito
Version :
Française
Auteur de la critique :
nicofeel
Date de la critique :
25/11/2010
Cette critique a été
visitée
181 fois.
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Editeur : Editions Montparnasse Année de sortie au cinéma : 2004 Date de sortie du DVD : 06/12/2006 Durée du film : 90 minutes
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Résumé :
Félix, un jeune vagabond de 20 ans, arrive dans un village perdu d'Argentine. A la gare, il rencontre Roberto, un ouvrier au chômage, qui lui offre un travail dans la petite ferme où il vit avec sa jeune femme, Mercedes, et leur fils d'un an à peine, Chango. C'est dans ce cadre isolé, sous le soleil brûlant de la Pampa, que Félix réalise peu à peu la tension quotidienne, violente et muette, dans laquelle ils survivent. Alors que le couple se déchire, une véritable histoire d'amour se tisse entre Chango, l'enfant, et Félix. Ce marginal solitaire trouve enfin un but à sa vie : sauver l'enfant du chaos.
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(6.5/10) |
Réalisé par Maria Victoria Menis, El Cielito rejoint la vague de ces films argentins récents qui traitent de la société actuelle. On voit que la crise est passée par là avec notre personnage principal, Félix, un vagabond, qui décide de tenter sa chance dans un village perdu en Argentine. Là il n'y a pas plus de travail et il ne va rencontrer que des gens désabusés entre un homme rustre, macho et alcoolique et une femme qui en a marre de cette vie. Se liant finalement avec le bébé de ce couple, Félix va alors avoir un rapport fort avec celui-ci. Le film est clairement divisé en 2 parties avec une première partie qui se déroule à la campagne et une deuxième à la ville. Si la vie est difficile dans les deux cas, et plus encore dans la ville, El cielito montre bien une société où les pauvres sont très nombreux. D'ailleurs, les gens sont prêts à tout pour quelques sous, comme l'indique une des scènes finales du film.
Plutôt intéressant par le contexte socio-économique qu'il sous-tend, El cielito vaut également par le rapport entre Félix et le bébé. Mais le film est assez inégal dans l'intérêt que l'on peut lui porter avec un rythme molasson et une action qui ne décolle vraiment qu'au bout d'une heure. Dommage car la thématique développée est assez riche.
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