En 1988 arrive sur nos écrans de cinéma Hellraiser II. Il s'agit de la suite directe du film de Clive barker qui laisse la place à la réalisation à Tony Randel. On retrouve les mêmes héros avec la jeune Kirsty qui cette fois-ci va faire un très long voyage en enfer, accompagnée par une jeune fille mystérieuse, Tiffany. Il y a également la belle mère Julia, l'oncle Franck et un directeur d'hôpital psychiatrique qui sont de la partie. Comme toujours avec Hellraiser, le film mêle souffrance et désir. La fameuse boîte sert donc de porte d'entrée à un enfer qui est peu ragoutant. Les effets spéciaux ne sont pas tous réussis (notamment ceux avec le directeur d'hôpital lors de sa transformation) mais au moins les scènes gore sont nombreuses et sont tout à fait appréciables. Comme dans Hellraiser premier du nom, plusieurs scènes gore ont lieu pour permettre la régénération d'un être voué à demeurer en enfer. Ici c'est le personnage de Julia qui va se régénérer.
Si le scénario du film n'est pas d'une grande finesse (passé le moment dans l'hôpital psychiatrique, l'action se déroule en enfer), il se suit de manière plaisante et on retrouve avec intérêt nos chers cénobites.
La fin du film est clairement une introduction à Hellraiser 3.
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