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CRITIQUE DVD


LA MAISON SUR L'OCEAN - EDITION PRESTIGE




Titre : La maison sur l'océan - Edition prestige

Version : Française
Auteur de la critique : romanticolor
Date de la critique : 23/12/2009

Cette critique a été visitée 532 fois. Aide

 

Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport
Année de sortie au cinéma : 2001
Date de sortie du DVD : 05/12/2002
Durée du film : 125 minutes
Acteurs: Kristin Scott Thomas


Résumé : George est architecte et mène un rythme de vie effréné. Lassée, sa femme a fini par divorcer et son fils n'a plus confiance en lui. Aujourd'hui licencié, il décide de reprendre sa vie en main et de réaliser un vieux projet, celui de restaurer la maison de son père. Au-delà de la simple construction d'une maison, son rêve va se transformer en quelque chose de bien plus vaste que tout ce qu'il aurait pu imaginer...
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Avis Artistique
Avis sur le film :   (6/10)

Il existe des films subtils et « la maison sur l’océan ».
George est un architecte à l’ancienne, c'est-à-dire qu’il fait ses maquettes à la main, car c’est un artiste, un rêveur, l’informatique, ça le laisse de glace. Oui mais voilà, dans notre société moderne, c’est quand même plus pratique et rapide de faire des maquettes informatisées que manuelles, c’est ainsi que ni une, ni deux, il est viré, par refus d’adaptation.
Et puisque nous sommes dans un film guimauve, un malheur n’arrivant jamais seul, le même jour, il apprend qu’il ferait mieux de se dépêcher à reconstruire sa maison et sa vie (ironie du sort).
Oui car pour ceux qui seraient aveugles, la maison (cabane) qu’il décide de raser pour construire une belle demeure est une grande métaphore outrancière, sur la reconstruction de sa vie, une sorte d’expiation de son passé.
Car voilà, le film est une grande expiation, George, décide (il était temps) de reprendre en main l’éducation de son fils (Hayden Christensen) qui passe dangereusement du coté obscur en écoutant du Marilyn Manson et en se mettant des piercings notamment au menton, ce qui a le don d’énerver son entourage. Il est qualifié d’ados à problème et rebelle, à croire qu’ils n’ont pas vu « Pascal, le grand frère », c’est un faux rebelle, il ne fugue même pas de la cabane de son père alors que les sanitaires sont dans la cuisine à la vue de tous et qu’il doit prendre sa douche dehors avec de l’eau froide, un ados normalement constitué aurait fuit depuis longtemps, à problème ou pas.
Les dialogues et les bons sentiments en font de ce film, un film cucul la praline, puissance dix. George, est amoureux de son ex-femme qui est remariée mais qui pourtant a les mêmes sentiments que lui, mais cet amour restera platonique et amical, idem pour son fils envers la très charmante voisine. Les seuls qui ont osé faire l’amour, doivent expier leur pêché en se sentant obligé de rameuter tous leurs amis, pour l’aider à construire sa maison gratuitement, ça va de soi.
On est dans les maçons du cœur, dans un monde de Bisounours, où tous le monde est très sympa avec George en construisant sa maison avec plaisir, bonne entente, bonheur et gratuitement.
Son fils comme prévu, devient quelqu’un de bien, il n’écoute plus Marilyn Manson, aime son père et ne se maquille plus et ne porte plus de piercing.
La fin en rajoute encore et encore dans le mielleux, les bons sentiments et la guimauve, ils n’ont pas peur d’en faire trop. Pourtant en y réfléchissant bien, cette image, d’homme parfait est égratigné, car auparavant, il ne s’occupait guère de son fils.
Malgré tout cela et cette mièvrerie, le film accroche surtout par les jeux d’acteurs qui sont, il est vrai, excellents, notamment le futur Dark Vador dans l’un de ses premiers rôles.


 
Avis Technique
Avis sur l'image :   (2.5/3) Avis sur le son :   (2/3)

Le film est filmé de façon à sublimer les lieux, pas une séquence sans que George ou son fils se pâment devant l’océan, les métaphores sont légions.
L’image est correcte, aucun défaut visible.

Le 5.1 dans les deux langues tient ses promesses, la petite musique cucul la praline peut agacer à la longue.

Avis sur les bonus & l'interactivité :   (2/3) Avis sur les visuels :   (1/1)

Menu avec petite musique et des images du film qui défilent.
Les bonus sont complets comme souvent chez l’éditeur :
- Commentaire audio du réalisateur, du co-producteur et du scénariste, mais uniquement en VO sans aucun sous-titre.
- Les documentaires
· Autour du film (24 min, VOSTF) : le tournage
· La construction des décors (10 min, VOSTF) : On apprend que la maison a été numérotée pour la reconstruire à l’identique près de la plage.
· Les interviews exclusives (10 min) : Les deux acteurs principaux (Kevin Kline et Kristin Scott Thomas) nous font le plaisir de parler en français.
- Les scènes coupées avec ou sans commentaires (12 min, VOSTF) : Ils hésitaient entre Scott Bakula ou un autre acteur pour jouer un petit rôle de flic.
- Les filmographies
- Les bandes-annonces

Boîtier amaray transparent, avec une jaquette présentant George apaisé et heureux au bord de l’océan et le visage des quatre principaux acteurs le surmontant.
Il est dommage que le verso de la jaquette soit totalement vierge, malgré la transparence du boîtier.
La sérigraphie est entièrement imprimée avec George, nous rejouant « je suis le roi du monde » toujours sur la côte, face à l’océan.


Note finale :

  (13.5/20)


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Générique :
- avec Kristin Scott Thomas

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