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CRITIQUE DVD


L'ENQUETE




Titre : L'enquête

Version : Française
Auteur de la critique : montana62
Date de la critique : 26/09/2009

Cette critique a été visitée 422 fois. Aide

 

Editeur : Columbia / Tristar
Année de sortie au cinéma : 2009
Date de sortie du DVD : 11/09/2009
Durée du film : 113 minutes


Résumé : Sous des dehors respectables, l’International Bank of Business and Credit est une multinationale de la finance spécialisée dans le blanchiment d’argent et le financement d’opérations illégales. Face à elle, Louis Salinger, agent d’Interpol, et Eleanor Whitman, district attorney adjoint de Manhanttan, sont déterminés à mettre fin à ses activités illicites. Ils sont prêts à tout pour que la justice règle son compte à cette organisation tentaculaire et intouchable, mais pour y parvenir, ils vont eux aussi devoir agir au-delà des lois...
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Avis Artistique
Avis sur le film :   (7.5/10)

Les banques n'ont plus vraiment la côte depuis leur petit jeu au casino boursier avec les conséquences que l'on connait, ce n'est pas avec l'Enquête que nous risquons de leur accorder de nouveau notre confiance.

Tom Tykwer nous propose une incursion passionnante au sein d'une banque qui n'est pas trop regardante à financer des coups d'état ou blanchir l'argent de la drogue. Clive Owen voit au début du film son collègue se faire discrètement assassiné, le ton est donné, cette société n'est pas prête à accepter la moindre entité se plaçant au travers de leurs affaires. On suit donc cet agent d'interpol qui pour arriver à ses fins, va devoir user de moyens peu orthodoxes et pas toujours légaux. L'enquête qui s'inspire plus ou moins de l'affaire BCCI au début des années 90, nous ballade en europe et aux états-unis. On assiste à l'assassinat d'un leader politique à milan qui n'est pas sans rappeler I comme Icare. Malgré ses longues scènes de dialogues, le film ne sombre jamais dans l'ennui et comme pour nous remercier de l'attention qu'on lui porte, le réalisateur nous propose une étourdissante scène dans un musée, véritable "gunfight", amenant une intensité inattendue mais jubilatoire. L'interprétation de Clive Owen est pour beaucoup dans la réussite du projet, cet acteur évitant les films faciles ou trop commerciaux est impeccable.

L'intrigue risque de laisser de glace ceux qui restent insensibles aux affaires obscures de ces sociétés gérant à distance notre monde, pourtant l'actualité brûlante démontre que la réalité peut dépasser la fiction. Un plaidoyer intéressant et magistralement interprété.


 
Avis Technique
Avis sur l'image :   (2.5/3) Avis sur le son :   (2.5/3)

Sans être transcendantale nous n‘avons pas grand chose à reprocher, tout au plus un manque de netteté sur quelques pans compensé par un contraste excellent.

Hormis le gunfight vous rappelant l’emplacement de vos différentes enceintes, la bande son se concentre sur l’avant avec une belle limpidité pour la bande originale très agréable, les dialogues multiples restent clairs et dynamiques aussi bien en VO que dans sa version française.


Avis sur les bonus & l'interactivité :   (2.5/3) Avis sur les visuels :   (0.5/1)

On retrouve le commentaire du réalisateur et du scénariste
Pour les scènes étendues, en fait elle n'en comporte qu'une seule mais d'une durée d'un peu plus de 10 minutes. Sa longueur aurait ralenti l'intrigue, néanmoins elle permet de découvrir l'ambiguïté des rapports entre Naomi Watts et Clive Owen ainsi que de découvrir la fille de ce dernier.
Le making of de 29mn reste intéressant une fois passé les convenances d’usage ou chacun est follement content d’avoir tourné avec les autres, une partie concerne logiquement la scène du musée, vieux hangar pour la petite histoire retapé en 16 semaines.
La fusillade au musée Guggenheim (6’30) reprend quelques scènes du making of mais reste plus logiquement structuré dans sa conception.
L’autostadt (5’) permet de découvrir la maison mère Volkswagen, réutilisée pour l’occasion en siège social de la banque.
Enfin pour clôturer quelques bandes annonces dont le teaser de 2012.

le sur étui identique à la jaquette propose une image morcelée présentant les différents protagonistes et quelques villes que l'on visite au cours du film. Est-ce pour justifier la complexité de l'enquête sur cette société tentaculaire ? La sérigraphie en couleur contrastant avec le noir et blanc de l'affiche présente partiellement le dos de la jaquette. les logos restent disciplinés au bas de la galette avec une belle discrétion, mais l'ensemble à l'image du film se passe de superflu et d'esthétisme.


Note finale :

  (15.5/20)


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