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Titre
:
Dark summer - Edition 2008
Version :
Française
Auteur de la critique :
nicofeel
Date de la critique :
26/12/2008
Cette critique a été
visitée
160 fois.
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Editeur : Bac Vidéo Année de sortie au cinéma : 2002 Date de sortie du DVD : 18/11/2008 Durée du film : 100 minutes
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Résumé :
Dans un commissariat du Middle West américain, Gérard Huxley, un violoncelliste français, vient de subir un interrogatoire musclé. Il revient sur son étrange histoire... Tandis qu’il roulait tranquillement, son attention a été distraite par deux policiers s’affairant autour de cadavres en bord de route. C’est l’accident. Hospitalisé, il est soigné par une belle infirmière, Megan, qui l’invite à dîner chez elle, où il fait la connaissance de sa jeune soeur, Dominique, au comportement trouble. Megan et Dominique vivent seules avec leur père grabataire. Le lendemain matin, le père meurt. Une fois l’enterrement passé, pour les deux soeurs, c’est l’occasion de réaliser leur projet, fuir ce trou perdu et gagner Seattle, la grande ville voisine... Elle parviennent à convaincre Gérard de les accompagner
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(4.5/10) |
Première réalisation de Gregory Marquette en 1999, Dark summer a été présenté au film policier de Cognac. Est-ce une preuve qu'il s'agit d'un bon film ? Eh bien malheureusement non. Dark summer se révèle relativement ennuyeux et bien inoffensif. Jean-Hugues Anglade, qui interprète le rôle de Gérard Huxley, un homme qui va être rapidement dépassé par les événements, est bien transparent dans ce film. A ses côtés, on retrouve Connie Nielsen et Mia Kirshner, qui sont dans ce film deux soeurs au passé trouble. Les deux actrices sont certes bien frapa-dingues dans Dark summer, et principalement Mia Kirshner, mais cela n'apporte pas grand chose au récit. D'ailleurs, on peut se demander qui a écrit le scénario de cette histoire où il ne se passe pas grand chose. Les dialogues sont souvent d'une banalité voire d'une nullité incroyable.
Le film a tout de même pour lui quelques scènes intéressantes (la séquence dans la demeure du juge ; la troisième rencontre avec deux hommes qui suivent le couple à trois) et un bon directeur photo.
Au final, ce polar un peu molasson et manquant de bons acteurs, est parfaitement dispensable.
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