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Titre
:
Boardinghouse
Version :
Française
Auteur de la critique :
nicofeel
Date de la critique :
24/11/2008
Cette critique a été
visitée
203 fois.
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Editeur : Uncut movies Année de sortie au cinéma : 1982 Date de sortie du DVD : 18/06/2008 Durée du film : 99 minutes
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Résumé :
James Royce vient d'hériter d'une superbe maison en Californie et décide aussitôt de transformer cette dernière en pension pour jeunes filles célibataires et peu farouches. Une fois toutes les chambres occupées, James se retrouve entouré d'un véritable harem constitué des plus belles filles de la région. Sexe, fête et farniente sont alors les principaux divertissements des nouveaux pensionnaires encore inconscients de la terrible menace qui rôde autour d'eux car quelque chose de maléfique vit dans cette maison... quelque chose qui ne reculera devant rien pour faire couler le sang...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(3/10) |
Réalisé en 1982 par John Wintergate, Boardinghouse est un film d'horreur bien étrange. On se retrouve avec un jeune homme (joué par le réalisateur qui apparaît sous le pseudo de Hawk Adley) qui vient d'hériter d'une belle demeure et qui a décidé de passer ses journées dans celle-ci avec de belles jeunes femmes. Le film s'apparente à une sorte de slasher fantastique avec des jeunes femmes qui décèdent dans d'étranges circonstances les unes après les autres. Mais le film est particulièrement fauché et la représentation des meurtres prête plus à sourire qu'autre chose : en effet, un fumigène rouge indique qu'un meurtre est sur le point d'être commis. On voit par ailleurs à l'écran une main gantée qui est à l'origine des meurtres. On comprend que le meurtrier dispose d'un pouvoir en matière de télékinésie. Les meurtres sont quant à eux bien rudimentaires dans leurs effets (la scène où la femme perd ses yeux est presque risible, avec un homme qui les récupère dans un bol !), même si le réalisateur n'hésite pas à verser dans le gore bien craspec par instants.
On regrettera principalement un scénario qui met très longtemps avant de commencer à devenir captivant (le réalisateur semblant plus intéressé à nous montrer de jolies jeunes femmes). Par ailleurs, on ne pourra que constater le désastre au niveau de l'interprétation, aucun acteur n'étant à sauver.
On pourra enfin rigoler devant la soi-disant peur qui est censée nous envahir à la vision de Boardinghouse, qui est filmé en horror vision (terme inventé par le réalisateur).
Au final, bien fauché, assez molasson, mal interprété, Boardingouse est un film d'horreur à éviter.
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