« Sanctus Spiritusssss », pardon je confonds de film. Godsend c’est l’histoire d’un enfant qui se prénomme Adam et qui je dois bien le dire, manque de chance, mourir le jour de son anniversaire et de manière tellement grosse, que l’on pourrait croire qu’on se trouve dans « destination finale 4 », car l’effet domino, du garçon qui perd son ballon, qui va sur la route dans un endroit pourtant protégé mais où un cycliste au même moment (pas doué) tombe de son vélo, ce qui fait dévier de sa route à une grosse voiture et là c’est le drame…
C’est alors qu’un docteur (De Niro, hé oui) se pointe en proposant que leur fils adoré se fasse encloner par ses soins. Du coup comme par magie en neuf mois, elle accouche d’un Adam bis, tout se passe pour le mieux, jusqu’à l’anniversaire de ses… huit ans.
A ce moment du film, on se dit, que puisqu’on est dans un film fantastique, plusieurs solutions, soit-il est hanté par sa première vie, soit une maladie se déclare, soit-il meurt, soit-il pête les plombs, soit le doigt vengeur de Dieu s’amène… Mais voilà le réalisateur s’est cru plus malin que tout le monde en voulant prendre le contre-pied de ce qu’on pouvait s’attendre, pour arriver à un résultat pathétique, certes c’est du fantastique, mais le coup de « j’en profite pour modifier les gènes » c’est trop gros, c’est plus que de la science-fiction ou du fantastique, c’est la quatrième dimension et pourquoi ça n’apparaît qu’à ses huit ans ? Ca n’a aucun sens.
Du coup on arrive à quel résultat avec tout cela ? Et bien Adam II, dort mal depuis son anniversaire, il fait des cauchemars et il crache sur la figure de ses petits camarades, ce qui fait paniquer sa maîtresse et ses parents, puis s’il n’y avait que cela, c’est que le petit chenapan déchire les photos fait par sa mère (qui est photographe), et même qu’un jour en sortant de l’école, il a dit « tête de con », c’est d’un vulgaire. Il est vraiment perturbé ce petit, mais attention c’est qu’il est vraiment méchant, la preuve on ne retrouve pas son petit camarade. Après avoir enfin trouver la cause de ses dysfonctionnements, ça se termine par le fait établi, bon ben tant pis, laissons-le comme ça après tout !
Comme vous l’avez devinez, le rythme est lent, il n’y a aucun suspens, il n’y a aucune tension, c’est plat et inutile, dommage que ce navet soit le premier du genre, car oui, nous sommes face à un très gros navets. Et pourtant il y avait du potentiel avec cette idée de clonage.
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