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Les premiers épisodes font clairement leurs âges, avec des taches, points blancs et poussières, le graphisme du début évolue très vite dans un style plus enfantin qui atteint son paroxysme dans ceux réalisé par Michael Lah.
Les épisodes sont en 4/3 sauf du 18 au 24 qui sont en 16/9.
On notera d’ailleurs la présence au numéro 6 et 18 du même épisode « Un cador cousu d’or ? », la seule différence c’est leur format d’image, l’un en 4/3 et l’autre en 16/9.
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Mono d’époque, si la VO est de qualité semblable, la VF s’aggrave au fil des épisodes pour finir avec Droopy avec une voix de… femme (ceux de Lah) sans parler qu’elle est édulcorée par rapport à l’anglaise.
Egalement présent la langue allemande.
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Service minimum pour ce coffret avec un menu fixe mais sonorisé.
On notera un message d’alerte au lancement du DVD, prévenant les spectateurs des préjugés raciaux de l’époque, que ce n’est que le reflet de la société des années 40-50 etc…
Bref le genre de truc qui énerve car nous prenant pour des abrutis en quelque sorte, ceci-dit il vaut mieux encore cela que la censure de l’intégrale car pas de notre temps. Genre de procédé à la mode en ce moment (je pense à Tintin).
Pour revenir aux bonus, le premier DVD contient :
- Documentaire : Droopy et ses amis (VOSTF, 18 minutes) Un cours documentaire sur Tex Avery avec des interviews d’anciens camarades, très intéressant et instructif.
- Un teaser du jeu « Looney Tunes Acme Arsenal »
Et sur le deuxième DVD nous avons un condensé de 5 minutes des meilleurs gags de Droopy.
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Boîtier amaray transparent avec sur le recto de la jaquette, Droopy et le Loup et sur le verso (caché par les dvd) la charmante pin-up, les épisodes sont bien détaillés à l’arrière du DVD avec leurs titres en français et en anglais.
On notera encore un message d’alerte sur la jaquette et sur le fourreau, mettant en garde sur le fait que ce sont des animés destinée aux adultes (pour une fois, pas de honte à avoir) et peut contenir des scènes déconseillées aux enfants.
Si avec tout cela nous ne sommes pas prévenus, Droopy est un produit dangereux à ne pas mettre entre toutes les mains, des fois, que nos enfants deviendraient violents ou racistes.
J’aime bien ces petits messages, vivement « Attention les propos de Billy Hayes ne reflète pas les idées de la Paramount, et doivent être remis dans leurs contextes » concernant Midnight Express ou encore « Attention, ce film est le reflet d’une époque ou la loi Evin n’était pas en vigueur ».
A part cela, le fourreau en carton épais offre une autre image que la jaquette, en plus en cadeau, nous avons droit à un timbre à 0.55 € émis en feuille en mars par la poste française (ayant donc valeur d’affranchissement).
Les sérigraphies sont soignées avec un grain fin.
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