Petite merveille d’ingéniosité et de poésie, ce Beetlejuice est ent;n,bpeur, oui… mais si ce sont les mortels qui effraient les macchabées ?
Original pitch (y pas un autre mot que Pitch ? Certains films sont quand même loin d’être des pépites) de départ qui permet à Keaton , futur Bruce Wayne de donner libre cours à ses pulsions face à un Alec Baldwin svelte et à un Jeffrey Jones se reposant enfin des déboires subis depuis l’époque douce amère de Ferris Bueller. Le succès du film fut tel qu’il donna naissance à une série animée sympathique (mais avec un Beetlejuice nettement moins dégueulasse).
A sa faire dix fois par an pour être sûr de passer un bon moment en s’amusant tout en ayant peur (le serpent à lui seul, made in Beetlejuice, est bien plus flippant que le récent Maison de Cire, sans peine en plus).
A montrer bien évidemment aux plus jeunes le même soir que Gremlins 1 et que Les dents de la Mer (de fait, le sale mioche sera à la fois terrorisé par les animaux, les peluches, la flotte (pour peu que vous indiquiez qu’un requin peut passer dans les canalisations comme le père noël dans une cheminée) , les fours à micro ondes, la bouffe après minuit , le père Noël du même coup mais aussi par les moindres bruits de la maison. Il suffit ensuite de faire crisser quelque chose sous son lit avec une voix nasillarde éructant du Gizmo caca ! Et vous vous vengerez ainsi de tous les tours de c… imposés par la marmaille. J’arrête la mon délire et je vous dis bon(s) film(s).
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