(suite de la critique de la première saison)
→ Les parents Kent (logiquement tous deux vivants au début puisque nous se film de Donner)
→ Le père Luthor et son rejeton qui justifient à eux seuls de regarder cette série tant ils sont alambiqués et furieusement barrés entre pardon, coups tordus et rémissions (ils passent un tiers de leurs temps à se tuer, un autre tiers à se pardonner et le dernier tiers à se mettre des bâtons dans les roues)…
→ Arrive ensuite Lois Lane, échappée d’un mélange de Charmed, Texas Ranger, Malibu et Beverly Hills (elle sait nager, se battre, être cruche et a même joué les sorcières, j’invente rien !) et qui bousille littéralement le personnage en arrivant trop tôt et en étant pas crédible pur un sou (et celle de Returns ne me semble guère carbonisé la pellicule par son charisme).
→ Krypto, qui apparaît fugacement dans la série pas des moyens détournés, reste plus convaincant (mais vu que dans le soap, on eu droit à Flash et consort , à quand l’apparition du chat de celui-ci et des autres amis du canidé issus du dessin animé éponyme ?)
Pour en revenir à Smallville en général, la première saison possède le défaut inhérent à toutes les séries de ce genre (ou de la WB) : un épisode pour un méchant qu’il faut se faire d’une manière chaque fois différente afin de grandir et de voir que les monstres c’est les autres (alors que rétrospectivement, il se serait crashé sur la lune, tout le monde aurait eu la paix et personne n’aurait été contaminé par les météorites. Bonne idée de départ dans laquelle les scénaristes parfois en mal d’inspiration se fourvoient pas le suite puisque dans tous les autres univers de Superman, le seul dommage collatéral de la kryptonite sur les humains concerne Lex qui y perd une main. Dans Smallville, via une ressucée inutile de Fast and Furious, la caillasse de l’espace est même utilisée comme super carburant !!!)
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