Sept ans, c’est un cap dans une vie de couple et pourtant, l’humour cynique est toujours là, après un début de sixième saison décevant en voulant mettre Peggy enceinte, la septième reste constante.
On constate qu’il est très difficile pour les scénaristes de vouloir nous imposer un autre membre dans la famille Bundy, ils se suffisent tellement à eux-mêmes, en effet dès le premier épisode, on leur impose un enfant de 5 ans « Seven » que le cousin de Peggy donne, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a tendance à plomber la série et devient une gène, d’ailleurs il apparaît de moins en moins, jusqu’à totalement disparaître et cela sans explication et sans qu’on le remarque.
Cette saison est celle où Bud prend du galon, il a un nouveau look avec un bouc et surtout, son rêve de toujours s’est enfin réalisé mais… avec la fille qu’il ne fallait surtout pas toucher, la future femme de son cousin Jimmy (épisode 13 « péché de gourmandise ») qui n’est autre que Cubiac (je l’écris comme ça se prononce) de la série « Parker Lewis ».
Kelly est toujours aussi stupide notamment dans l’épisode 2 « Un cadeau de Kelly », 8 « Kelly Bundy, serveuse et philosophe », où elle devient serveuse dans un fast-food.
Al quant à lui est toujours aussi losers, notamment l’épisode 19 « Papi Al » l’un des meilleurs épisodes de la saison où il triomphe sans gloire à un concours pour les plus de 65 ans et l’épisode 7 « les buveurs de bière de Chicago » où Al s’implique politiquement contre une loi devant taxer les bières et alcools, bref toujours égal à lui-même et c’est pour cela qu’on l’aime.
Mariés deux enfants, permet à des acteurs de faire leur premier pas, comme Denise Richard ou encore Joey de « Friends » dans cette saison à l’épisode 21 « bon anniversaire Kelly » son petit copain n’est autre que David Boreanaz, que les fans de Buffy connaissent bien.
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