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Titre
:
Freddy III : Les griffes du cauchemar - Edition simple
Version :
Française
Auteur de la critique :
Vance
Date de la critique :
27/08/2006
Cette critique a été
visitée
251 fois.
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Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport Année de sortie au cinéma : 1987 Date de sortie du DVD : 23/09/2004 Durée du film : 93 minutes
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Résumé :
Une véritable épidémie de suicides se répand parmi les jeunes de Springwood. Kristen, qui s'est ouvert les veines, a été admise à l'hôpital où six autres adolescents souffrent des mêmes pulsions. Curieusement, tous avouent partager un seul et même cauchemar... Le Dr Nancy Thompson, spécialiste des rêves et des troubles du sommeil, connaît mieux que quiconque l'origine du mal : Freddy Krueger. Bravant l'avis de l'institution médicale, Nancy soutient que le redoutable tueur aux griffes acérées hante les nuits de ces adolescents pour assouvir sa vengeance...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(6.5/10) |
Freddy III a toujours été mon préféré. Il est pourtant loin d'avoir l'impact du premier ou le côté glauque et introspectif de Freddy sort de la nuit. D'ailleurs, aujourd'hui, j'ai révisé mon opinion...
En fait, c'est moins l'atmosphère (il n'y a pas la même angoisse que dans le premier Nightmare on Elm Street) que cette idée de chercher à combattre le tueur sur son propre terrain qui me fascinait: enfin des ados qui se rebellent ! Le 2e opus nous montrait un Freddy qui hantait le monde réel : aucun intérêt. Ici, il n'a jamais été aussi fort et en même temps, on y trouve ses 2 points faibles : la manipulation du tissu onirique et sa propre condition terrestre.
Le dernier quart d'heure raconte ainsi un assaut désespéré sur 2 fronts : les victimes sont nombreuses mais l'espoir existe.
Ce film de Chuck Russell ne joue plus la carte de l'angoisse morbide mais celle de l'impuissance et de l'incompréhension : on déteste plus facilement ces médecins qui s'évertuent à ne pas croire les ados qui refusent de dormir que Freddy qui ne cherche qu'à se venger. Bien sûr, tout va trop vite, on sent bien chez Craven (scénariste cette fois) l'ambition d'en finir avec le croquemitaine d'Elm Street (ah non, pardon : "la rue d'Elm") et il use un peu facilement de grosses ficelles (la bonne sœur qui apparaît au médecin et lui montre la voie tout en lui fournissant les clefs pour comprendre l'origine de Freddy). Mais pour un temps, ces jeunes choisissent de ne plus être des victimes et, du coup, ça relance l'intérêt. On sourira peut-être devant l'animation des squelettes mais au final, on veut savoir qui l'emportera.
Peut-on réellement faire tout ce qu'on veut dans les rêves ? L'un des jeunes est amateur de jeu de rôles et s'imagine en sorcier tout puissant : fera-t-il le poids ?
Un bon moment, empreint de nostalgie. Ca n'a pas fait peur à ma fille et j'ai pu boucler une boucle.
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