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DVD A LA LOUPE


BATMAN BEGINS - EDITION PRESTIGE LIMITéE (+CD)

Lui écrire ninnin4

Batman begins - Edition prestige limitée (+CD) DVD sorti le 11/01/2006


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Warner Home Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

Date de sortie en salle : 15/06/2005
Nombre d'entrées : 1 505 000
Durée du film : 2 h 14 min.

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Nombre de visites :
2431


   

Le Film : 9/10

Résumé : Comment un homme seul peut-il changer le monde ? Telle est la question qui hante Bruce Wayne depuis cette nuit tragique où ses parents furent abattus sous ses yeux, dans une ruelle de Gotham City. Torturé par un profond sentiment de colère et de culpabilité, le jeune héritier de cette richissime famille fuit Gotham pour un long et discret voyage à travers le monde. Le but de ses pérégrinations : sublimer sa soif de vengeance en trouvant de nouveaux moyens de lutter contre l'injustice.

Avis :  Batman est de retour et ça fait du bien ! Après une série TV très onomatopesque et un film kitsch au possible datant de 1966, Tim Burton entreprit en 1989 de rendre hommage au héros masqué et en l’espace de deux films géniaux a régné en maître sur le genre du film de super héros pendant presque 10 ans jusqu’à l’arrivée en 1998 de « Blade » sur nos écrans. Joël Schumacher pourtant excellent réalisateur (quand il le veut) essaya bien de prendre la relève mais en imposant un univers fluorescent et bariolé opposé sombre et gothique de Burton, il plongea la série dans une déchéance artistique et publique abyssale au point que la relève semblait impossible. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que malgré une remise au goût du jour spectaculaire du genre avec les succès que l’on connaît qu’il aura fallu près de 8 ans pour que Warner accouche d’une suite tant espérée et redoutée en même temps ! C’est Christopher Nolan, brillant metteur en scène du fauché « Following », du défragmenté « Memento » et dernier bon film de Pacino « Insomnia » qui s’y colle et nous offre par là un film paradoxal dans le sens où il s’inscrit dans la continuité de la série mais en même temps s’affranchit des règles chronologiques et esthétiques comme pour mieux fonder une nouvelle base, de nouveaux repères pour un public qui ignorerait l’existence des débuts.
Je baserai ma critique sur cette dualité et me servirai d’éléments de comparaison uniquement les films de Burton, connaissant moins les deux autres et surtout les jugeant comme une aberration dans l’univers voulu par Bob Kane, créateur du personnage dans les années 40.

Ce film montre la naissance du héros Batman. Ne vous offusquez pas si vous ne le voyez pas avant une bonne heure de film mais le réalisateur a pris le temps de poser son personnage en expliquent chaque point qui ont fait que Bruce Wayne est devenu le Dark Knight. Ce film ne remet pas la mythologie en jeu, bien au contraire. On savait que petit, Bruce avait découvert par accident la grotte qui deviendrait sa Batcave et c’est fort bien illustré. On savait que ses parents avaient été assassinés à la sortie d’un spectacle et bien on se prendra volontiers au jeu des différences pour déceler ce qui change (lieux, conditions, armes) dans cette scène si capitale…a peu près tout y est jusqu’au collier de perle malheureux ! Ce qui nous intéressait et qui est l’objet de cette première partie du film, c’est comment Wayne a-t-il appris à se battre et qu’il a obtenu tous ces ‘trucs’ qui font de lui Batman…et bien vous en aurez pour votre argent.
J’avais pu lire une critique dans Les Années Laser à propos du premier volume ‘L’univers de Batman est bien trop codifié pour qu’on s’y sente à son aise’. J’ai trouvé enfin les raisons de cette incompréhension (que je ne partage pas) du journaliste auteur de cette phrase. C’est que tous les tics et les tocs du héros n’étaient pas clairement expliqués…Et bien c’est chose faite avec ce film notamment dans les scènes illustrant sa formation. De la moindre arme, de son ‘invisibilité’, de sa psychologie si border line, on saura tout ! Ceci n’est certes pas livré de façon brute, Nolan distille ses infos avec subtilité mais les aficionados chercheront le moindre détail qui rappellera tel ou tel combat qu’il a pu livré contre le Joker ou le Pingouin et Max Schreck (boules explosives et fumigènes, costumes, gadgets divers, armes… Il en est de même avec son comportement. Si la personnalité de Wayne est de toujours chercher la justice, celle de l’homme chauve souris est plus vacillante sans que jusque là elle ait clairement été expliquée. On savait que le meurtre de ses parents était à l’origine de sa recherche de vengeance, vous apprendrez ici que sa formation martiale et spirituelle en est pleinement responsable, ses formateurs l’ayant contraint à appliquer une auto justice à n’importe quel prix. Si bien sûr il essaye de se distancier par rapport à ça, les méfiances que peuvent avoir la police dans les trois films est pleinement justifiée tant il semble fragile sur l’équilibre entre le bien et le mal que seul ses actes arrivent trouver son juste milieu. En ça, Batman reste le super héros le plus humain qui soit. Déjà par son absence de super pouvoir mais aussi par la lutte contre ses propres démons qu’il se livre à lui-même tous les jours.
Tout comme dans « Batman » premier du nom, Wayne cherche à établir son aura sur la peur qu’engendre son costumes et sa façon de se battre. Ce qui est d’autant plus fort, c’est qu’il a choisi comme animal représentatif (un peu comme les dieux de l’Egypte antique) celui qui lui a causé le plus d’effroi. Cet animal, les chauve souris, et lui forment ainsi une fusion parfaite. Il a battu ses propres frayeurs pour en faire un symbole de peur pour les ‘Méchants’, d’aide, d’allié pour les populations innocentes de Gotham City…paradoxe supplémentaire du personnage.
Mais bon, fini de parler du fond, attardons nous maintenant sur la forme. Ce qu’il y a de commun avec les deux premiers volets, c’est la démesure de la mise en scène. Les décors (naturels ou non) sont une fois de plus somptueux. Je tiens à rappeler pour mémoire que le premier avait reçu un oscar pour ceci. Dans le même ordre, Nolan sait très bien mener sa caméra et tout comme Burton, il sait donner une dimension unique aux aventure de notre héros en sachant alterner des moments de combats furieux et extrêmement bien chorégraphiés à des plans citadins d’une rare beauté. Ce metteur en scène a su aussi trouver le moyen de faire des scènes inoubliables par leur beauté. Les plans iconiques de Batman au dessus de la ville sont bien sûrs présents et leur aspect graphique proche du dessin marqueront durablement les rétines. D’autres, par leur intensité dramatique ou leur gigantisme mis en oeuvre en feront de même : Wayne qui se relève au milieu de Chauve souris, la préparation du costume…. Tout comme dans les films précédemment cités, les cascades restent d’une grande qualité et le refus des effets numériques sur celles-ci comme dans la majorité des effets pyrotechnique (le dojo par ex mais aussi le manoir) prouve qu’il y a continuité dans la série malgré des moyens qui ont considérablement évolués. Le casting n’est pas en reste non plus et nous avons là encore affaire à un défilé de grands noms du cinéma à commencer par Christian Bale qui offre, après Michael Keaton, une vision encore plus torturée de son personnage. Avez-vous déjà vu ce type mal jouer ? Dans « The Machinist » et « Equilibrium », il livrait des performances hallucinées, et même dans le plus que médiocre « American Psycho », il remontait le niveau du film rien que par sa présence et son charisme. Viennent ensuite la ravissante mais pourtant fadasse sur le plan du jeu d’acteur Katie Holmes, pour la première fois bonne, Liam Neeson explose dans le rôle du Bad Guy, Gary Oldman, même si son personnage est quelque peu ridiculisé par moment (je m’expliquerai plus loin) amène une sobriété qu’on ne lui connaissait guère. Enfin, Cillian Murphy et sa gueule d’ange est le personnage incontournable de la série toute entière. Moins exubérant que tous les autres, plus terrible aussi, il apporte une nouvelle pierre à l’édifice et on ne peut que s’attendre à le revoir dans de futures aventures. Mention spéciale à Morgan Freeman, une fois de plus impeccable et à Michael Caine et son humour et sa prestance si british qu’on en oublierait presque le précédent Alfred pourtant si mémorable.

Mais le film prend aussi ses distances avec les œuvres cinématographies ‘originelles’. Du point de vue photographique déjà. Exit les tons grisâtres de Burton et son univers bétonné, place aux tons ocres dans l’ensemble (scènes de nuit dans Gotham) mais tellement divers (bleus dans la montagne, naturel dans les scènes d’enfance) qu’on a du mal à y trouver une certaine cohérence d’autant que la structure en flash back (majoritaire dans la première partie) n’étant pas toujours claire a tendance à nous perdre dans la chronologie des évènements. Exit aussi le fabuleux thème crée par Danny Elfman qui collait si bien aux images de Burton au point de créer une symbiose totale qui transcendait l’ambiance des films. Place à une musique certes écrites par deux grands noms mais qui n’a pas su apporter la moindre originalité au tout tant elle est banale et pourrait être placée dans n’importe quel blockbuster.
Toujours dans les erreurs, subsiste quelques erreurs de goûts dus à des changements trop marqués. Je parle de la Batmobile et de la course poursuite entre Batman et les forces de police. Je ne sais pas ce qui a poussé à choisir cet espèce de tank, si c’est le refus des lignes trop gothiques des précédentes ou la volonté de marque un changement radical avec les véhicules futurs mais je n’ai vraiment pas accroché avec ce véhicule. D’autant plus que la scène où elle devient importante est la plus faible scénaristiquement parlant. David S Goyer, auteur du script et déjà à l’origine de ceux des 2 premiers Blade (il a pourri la trilogie en voulant réaliser le troisième épisode et en le bâclant pour être plus vite sur le projet « Batman Begins ») s’est complètement lâché et a baisser sa garde en terme de dialogue. Alors que l’ensemble était fort bien pensé et sobre, on se retrouve avec un inspecteur Gordon qui frise le ridicule au volant du bolide et en train de déclamer ‘il faudra que je m’achète le même modèle’….A peine digne des phrases choc de « Blade Trinity ».
Pour finir, parlons de la volonté de Nolan de créer un nouveau moule pour les futures suites à venir (car il y en aura, j’en suis persuadé). Un peu comme le personnage principal qui est prêt à détruire (son manoir par ex mais aussi sa vie) pour mieux reconstruire, le metteur en scène a pris d’énormes libertés. Le Gotham de « Begins » ne ressemble en rien à celui de Burton. Il s’inscrit plus dans une veine réaliste, proche de la caricature d’une New York en pleine décrépitude que celui qui voyait les premières affres du joker. Le design général (costumes, véhicules, décors) se démarque de ce dernier qui reprenait celui des bandes dessinées originales donc des années 40 avec grand pardessus, chapeaux, fusil avec chargeur ‘camembert’. Et puis il y a les quelques détails pourtant important que tout fan ne manquera pas de remarquer. Le signal offert par Batman à Gordon l’était à la fin du premier épisode, le Joker était crée par Batman lui-même alors que là il semble déjà officier….La connaissance même de Batman par la population commençait dans ce même film alors que là, les journaux parlent déjà de lui. L’aspect financier est aussi nettement plus présent. Alors que les turpitudes monétaires de Bruce Wayne n’étaient qu’un prétexte dans les histoires précédentes, elles sont ici le moteur du film au même titre que sa vie nocturne. Il existe d’ailleurs un parallèle intéressant entre sa reconquête de l’empire de son père (et la destruction de la plus grande œuvre de celui-ci), celui du cœur de sa belle et de sa propre âme.

Je pense (ou du moins j’espère) que ma note est le reflet de ce que je viens de dire. Pour info, j’aurais mis 10 au premier, 9.5 au « Défi ». Il est clair que cette reprise en main du héros de la nuit est du meilleur augure et s’inscrit dans des spectacles de qualité façon « Batman » de Burton mais de façon fort différente mais aussi de « X-Men » sur le plan qualitatif. On est donc face à un film de très grande qualité visuelle mais qui sait rester intelligent. Le réalisateur a su prendre son temps pour instaurer une nouvelle mythologie ou du moins rompre sur le plan chronologique avec celle amorcée par Burton pour éviter ainsi les écueils qu’a par exemple essuyé Lucas avec sa « Revanche des Siths » où tout ce qui devrait faire la continuité avec sa première trilogie se retrouve baclement révélé en ¼ h. On pourra reprocher certains goûts esthétiques notamment sur le véhicule qui m’a laissé de marbre voire un peu exaspéré mais on ne pourra qu’applaudir une fois de plus la magnifique performance de Christian Bale qui donne au Dark Knight une dimension encore plus sombre et schizophrénique que celle de Michael Keaton pourtant déjà excellent. Un des meilleurs films de super héros, une excellente reprise en main de la série, une interprétation sans faille et un casting de grande classe. On attend la suite avec impatience.


[ Voir le Logo Détourné pour ce DVD ]

L'Image : 3/3

Détails techniques : Format Video : 16/9 – Ratio : 2.40 : 1

Avis : Tout simplement parfaites et immaculées, les images foisonnent de détail et de précision. La compression est exemplaire, le grain invisible et l’espace du disque est complètement optimisé pour un rendu quasi HD


Le Son : 2.5/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 en anglais & Français – Sous titres : Français, anglais, italien

Avis : Dans la série j’suis pas logique, je voudrai Warner. Alors que les 4 premiers Batman ressortent, malgré leur âge avancé pour certains avec une Vo DTS tonitruante, la maison mère ne nous offre ici que du DD 5.1 certes de qualité supérieure sur les deux pistes présentes. Quand on voit la précision et la dynamique des ces pistes (même sur la Vf, très bien doublée), on ne regrette qu’amèrement cette négligence.


L'Interactivité : 3/3

L'ergonomie des menus :
Le disque du film est plutôt classique (mais for beau) sur ce point avec des images défilantes et des titres écrits dans la partie inférieure. Par contre, sur le disque des bonus, les magnifiques introductions des pages de menu par des images emblématiques du film se terminent sur des cases de bandes dessinées, rapprochant ainsi cette édition de celle de « Sin City ». La navigation n’est pas des plus aisée car pour passer d’un titre de menu à l’autre, il faudra carrément changer de page grâce à un clic sur le petit insigne en haut à droite de l’image. Original et ludique mais pas toujours très pratique d’autant qu’il faut mettre en surbrillance un morceau du dessin pour accéder à un bonus qui ne comporte pas de nom. Gare aux bonus cachés ! Il existe toutefois un récapitulatif de tous les bonus présents. Pour cela, rendez vous à la fin de toutes les pages grâce à la petite icône sus nommée. Quant aux menus, ils sont bien sûrs en 16/9ème et (délicatement) sonorisés par des extraits de BOF.


Les bonus :

Disque 1 :

  • Simple bande annonce cinéma en Vo
  • On ne regrettera pas l’absence de commentaire audio…. il n’aurait pas été sous titré !

    Disque 2 :
  • Succession de divers modules qui mêlent extrait du film, images du tournage et interviews et s’intéressant à la Batmobile, aux costumes, aux effets spéciaux, aux décors et à quelques scènes clés.
  • Making of beaucoup plus classique
  • Le dernier bonus intéressant s’attarde sur les différentes incarnations dessinées du super héros
  • Fiches techniques sur les personnages ou des gadgets
  • Banales galerie d’affiches


  • Disque 3 :
  • Le CD de la bande originale
  • Cela peut paraître un peu rapide mais il faut savoir que j’ai simplifié au maximum en regroupant les bonus par type. Le verso du boîtier vous prouvera que l’édition collector qui correspond aux deux premières galettes mérite son appellation et que ce que je vais dire par la suite prouvera par contre que la pompeusement nommée ‘Edition prestige’ ne vaut pas tripette.


    Les Visuels : 0/1



    La pochette / Le packaging

    Qu’il soit dit que la politique éditoriale de Warner Home Video frise le n’importe quoi le plus total ! Impossible d’avoir un aspect collection sur une série. Les 4 premiers Batman sont récemment ressortis en édition collector. Rien à redire sur le contenu ni sur la qualité. Mais par contre, gare au packaging ! Sur étui cartonné des plus fragiles qui soit même pas digne des édition aventi, jaquettes des plus plates qui puissent exister, et surtout boîtier amaray indigne des belles éditions qu’avait pu nous offrir la maison sur « Le nom de la rose » ou « L’étoffe des héros » par exemple. Si le surétui est ici nettement plus noble, rappelant celui d’ « Opération Dragon » par exemple et surtout bénéficie d’un splendide design avec textes cuivrés et en relief et une jaquette des plus sobres qui soient, le problème du boîtier est identique : banal amaray deux volets qui ne contient même pas de petit livret avec au moins les titres de chapitre. Une honte quand on pense à la qualité du film. Et ce n’est pas fini. Il s’agit ici prétendument d’une édition prestige avec cd de la BOF. Tout collectionneur qui se respecte est en droit d’attendre un bel étui pour le cd musical. Et bien que nenni ! Un boîtier dvd pocket est inséré dans le blister du dvd et se retrouve donc indépendant du film lui-même. Le devant de la jaquette est différent mais celui de l’arrière est rigoureusement identique et ne correspond donc en rien à ce qu’il contient Ce qui fait que même si les sérigraphies sont superbes, je ne peux que m’astreindre à mettre quelque point que ce soit à cette catégorie !



    La sérigraphie

    Superbes sérigraphies qui reprennent les couleurs de la jaquette et s’affichent comme des plus réussies en la matière. Il y a bien encore de trop gros logos mais ils sont toujours opposés aux Batman (l’un en vol, l’autre contemplatif) qui ornent ces deux superbes galettes. Le détail est excellent tout comme la qualité de l’impression qui comprend par ailleurs le rond central de façon intégrale. Imaginez un peu ce que cela aurait pu donner dans un digipack ! La sérigraphie du CD lui est propre et reste dans la lignée de celles du film ce qui fait d’autant plus regretter qu’il n’ait pas été intégré à l’ensemble.

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (17.5/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 18/01/2006 à 18:05 par Hotkiller : Très belle loupe comme d'habitude mon cher ninnin4. Personnellement je trouve que Nolan a fait un film qui malheureusement n'a pas sa propre personnalité parce que trop ombragé par les réalisations de Burton. A mon sens, il aurait du opter pour un scénario plus radical en se rapprochant du personnage de BD créé par Frank Miller dans sa série Dark Knight. Mais celà étant, cette série nous présente un Batman usé et vieilli carrément fachisant et il n'est pas impossible que le personnage initié par ce film évolue vers ce type de personnage sombre et trouble à souhait. Reste comme tu l'as dis un excellent spectacle de divertissement pas trop puéril et c'est déjà pas si mal. PS : moi je l'adore ce tank...;-)
    - le 15/01/2006 à 12:35 par Aérochouf : Visionné hier soir et franchement belle surprise, un excellent film, rien de fantoche peut-être les roues increvables de la batmobile loool mais son aspect est au moins très surprenant, les acteurs sont très bons.... Ta loupe est sympa, si vous n'êtes pas fan des films du genre, eh bien je suis certain que ce Batman Begins vous surprendra.......
    - le 14/01/2006 à 12:13 par ninnin4 : Et bien j'attends cette critique avec impatience mon cher Ikkar
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