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DVD A LA LOUPE


HUNGER GAMES 3 : LA RéVOLTE - PARTIE 1 + 2 (BLU-RAY)

Lui écrire montana62

Hunger games 3 : la révolte - Partie 1 + 2 (Blu-ray) DVD sorti le 22/03/2016


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport
Distributeur :
Seven7 / Metropolitan Filmexport

nombre d'entrées : 2 882 374
Date de sortie : 18 novembre 2015
Durée : 2h 17mn 05s

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Nombre de visites :
311


   

Le Film : 6.5/10

Résumé :  Alors que Panem est ravagé par une guerre désormais totale, Katniss et le Président Snow vont s’affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale, Finnick et Peeta – sont envoyés en mission pour le District 13 : ils vont risquer leur vie pour tenter d’assassiner le Président Snow, qui s’est juré de détruire Katniss. Les pièges mortels, les ennemis et les choix déchirants qui attendent Katniss seront des épreuves bien pires que tout ce qu’elle a déjà pu affronter dans l’arène…

Avis : Après le demi-acte pleinement décevant de la révolte, Francis Lawrence nous devait une revanche pour clôturer en feu d’artifice cette franchise.

Nous retrouvons une Katniss bien mal en point après une étreinte un peu trop passionnée de Peeta. Pour notre héroïne, il est temps de passer à autre chose et après tout elle dispose d’un autre soupirant. Les districts sont en ébullition, Snow sent le vent tourné et Coin apprend très vite les ficelles de la politique. Si ses tenues s’affinent de plus en plus près du corps, son ambition gonfle de minute en minute.

Katniss, lassée de n’être qu’une affiche, opère sa mutation d’adulte et va enfin, pour notre plus grand soulagement, prendre son destin en main, du moins celui de symbole de la résistance. Car pour la broutille, pas question de briser le cœur de milliers de fans tout de suite. Après tout, disposant de près de 2h20, il sera bien assez tôt pour dévoiler son choix.

Le film tourne définitivement sa voie vers le côté obscur. Les sombres machinations des hautes sphères vont troubler notre perception quant à l’opposition des camps, où sont les gentils ?

La 1ère partie de ce 3ème volet pêchait par ses bavardages interminables et son manque de rythme. Heureusement l’autre moitié enclenche la seconde et propose quelques scènes dignes d’intérêt. Après les incontournables briefings, nous pénétrons dans ce qui ressemble furieusement aux 76ème Hunger Games.

Au menu des réjouissances, afin de s’offrir une visite au capitole, notre cher Snow a truffé le parcours de pièges. Et si ce n’est pas suffisant, quelques mutants peuvent toujours palier à l’éradication de ces révolutionnaires.

Si la visite dans les égouts constitue une scène âpre et riche en suspens, on déplore un tsunami pétrolier beaucoup trop synthétique et invraisemblable. Néanmoins, l’alternance action-dialogue trouve un meilleur équilibre que son 1er demi-frère et le temps passe plus vite jusqu’à son épilogue.

Maintenant on ne parlera pas de révolution dans son déroulement, même si on découvre l’adaptation. Le métrage conserve intact cette pollution du triangle amoureux et même les protagonistes semblent lassés de ce petit jeu.

Côté casting, la même impression subsiste que dans la 1ère partie. Jennifer Lawrence est toujours aussi impeccable, quelque soit le registre. Elle vampirise l’objectif, mais cet atout devient un inconvénient pour le reste de l’équipe. Le charisme indestructible de Donald Sutherland l’empêche de se faire avaler, et Elisabeth Banks est toujours aussi craquante. Julianne Moore s’en tire juste honorablement, tout comme Philip Seymour-Hoffman et Woody Harrelson. Mais pour le reste, il est difficile de sortir du lot surtout le tandem/rival Josh Hutcherson/Liam Hemsworth qui n’a pas réussi à me convaincre en 4 films, mais il est vrai que la franchise cible un public « adulescent ».

On parle d’embrasement, de révolte, les morts se comptent par centaine mais pour franchir les filtres de la censure et rallier un maximum de spectateurs, ces combats fratricides ne laissent pas la moindre goute de sang sauf dans la bouche de ce cher Snow.

Et côté box office, une évidence voile à peine un système devenu trop pervers. La déception flagrante sur la 1ère partie a refroidi bon nombre de fans qui ont préféré bouder l’épilogue. Ainsi les recettes mondiales sont passées de 755 millions de dollars pour la 1ère partie à 643 pour la seconde et en France de 3,22 à 2,88 millions de spectateurs. Mais peut-on parler d’échec commercial quand les 2 films totalisent 1,4 milliard de dollars pour « seulement » 285 millions de budget. Pas sûr que ce procédé mercantile soit enterré de sitôt.

Malgré l’imbuvable intrigue amoureuse et une fin calamiteuse, Martin Lawrence récupère in-extrémis notre attention pour suivre l’émancipation de ce geai moqueur. Largement supérieure au déplorable Twilight, cette franchise n’a cependant pas toujours su maintenir un équilibre dans son rythme. Heureusement avec au casting une Jennifer Lawrence investie, la franchise garde tout son attrait pour son personnage central.

Au final Hunger Games reste un divertissement honnête, mais la cible adulescente risque de diviser le pub


L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Disque 49,44 Go – Format 2.40

Avis : On reste majoritairement dans les teintes désaturées à dominante verdâtre. On quitte heureusement les profondeurs du district 13 et ses interrogations quant à l’intérêt HD sur la 1ère partie pour sortir un peu la tête de la terre. C’est l’occasion d’apprécier de belles profondeurs comme ce survol de l’hovercraft dans le district 2, le piqué est également à l’honneur sur les gros plans. Cependant même si la gestion des noirs reste excellente, les scènes d’égouts montrent parfois quelques limites. Mais l’ensemble reste de haute volée et frise la note maximum.


Le Son : 3/3

Détails techniques : Anglais Dolby Atmos - Français DTS-HD Master Audio 7.1 – Audiodescription
Sous-Titres : Français – Sourds et Malentendants

Avis : La VF possède une solide piste HD 7.1, faisant bénéficier d’un réel dynamisme dans ses scènes d’action et d’un mixage précis dans ses moments de repos. Le doublage reste excellent, évitant de s’enfermer dans la centrale. Pour la VO, soit vous disposez du précieux Atmos, sinon il faudra se « contenter » du True HD 7.1 avec un encodage sensiblement inférieur à la VF mais pas franchement perceptible. On peut dans tous les cas apprécier une bande originale et quelques moments de tension avec une HD royale.


L'Interactivité : 3/3

L'ergonomie des menus :
Sur une image flamboyante du geai moqueur en flamme et après l’éclatement de l’image où apparait le visage de Katniss peint en rouge et blanc on retrouve comme menu FilmLanguesChapitre (20)Suppléments


Les bonus :

On attaque le 1er gros morceau avec les commentaires de Francis Lawrence et Nina Jacobson

  • Pour ce dernier volet, on retrouve notre duo Francis Lawrence et la productrice Nina Jacobson avec un petit pincement au cœur de devoir quitter cette franchise. Par cohérence le réalisateur indique que sur les 3 volets qu’il a réalisés, il a toujours voulu que les premiers plans soient consacrés à son héroïne Katniss. Pour Peeta, Lawrence revient sur le fait qu’il n’était pas possible qu’il maigrisse aussi rapidement, donc les effets numériques ont été salutaires.

    A 13’30 dans le district 2, comme information on apprend que le train de survivants arrivant sur Katniss est tout simplement un camion transformé. A 15’39 petite anecdote savoureuse, le plan séquence « imposé » du fait du peu d’ensoleillement à cet époque, à peine 5 heures dans la journée, a été 7 ou 8 fois et on peut voir sur cette prise les 2 acteurs se faire de l’ombre car ils étaient mal positionnés, ce qui a passagèrement agacé le directeur de la photo. Mais la performance des acteurs a été préférée sur l’esthétique.

    Dans la continuité de la scène, le froid durant le tournage provoque une larme sur le visage de Katniss. Mais la volonté du réalisateur de ne voir l’émotion sur Katniss qu’à la fin du film, va faire effacer numériquement cette larme.

    Le fait d’avoir saucissonné la fin en 2 démontre certaines failles dans ce commentaire. Beaucoup d’éléments techniques, de lieux de tournage ont déjà été racontés sur le commentaire de la 1ère partie, la redondance commence à se faire sentir et surtout des plages de silence de plus en plus longues se font sentir.

    A 36’30, on apprend que la scène où se retrouve l’équipe sous une tente a en fait été retournée lors du montage. Mais la magie du numérique peut faire faire quelques économies substantielles, ainsi pour refaire cette scène, seul Mahershala Alia a été rappelé. Tourné sur un fond bleu, il a joué son nouveau texte, a été effacé de la scène initiale et rajouté par la suite. Même en regardant de très près, il faut vraiment le savoir.

    A 47’30, comme anecdote peu reluisante pour notre pays, on découvre que la scène a été tournée à Noisy le grand, dans des logements sociaux où les autochtones n’aimaient pas trop voir une équipe prendre des photos des lieux. Alors il a fallu que l’équipe fasse appel à des vigiles et comme accueil pour la 1ère journée, ils ont reçu des œufs puis divers projectiles comme une enceinte de Bluetooth.

    Pour la scène de pétrole, une des sœurs s’est fracturée un doigt mais n’a pas voulu le dire tout de suite. Elle a dû se faire opérer en urgence pour ne pas le perdre et s’est fait remplacer par une doublure française. Même si les autochtones n’appréciaient pas la présence de l’équipe, ça ne les empêchaient pas de suivre le tournage avec curiosité par les fenêtres, il a donc fallu un gros travail de postprod pour effacer tous les gens des fenêtres.

    La suite s’avère moins intéressante et surtout peu riche en informations, les protagonistes se contentent de narrer les scènes ou flatter les techniciens et les acteurs.

    A 1’38’10, Lawrence évoque la difficulté avec la MPAA un organisme de censure pour rendre les scènes de violence acceptable, pas de sang, pas de gore, mais si la violence exprimée n’est pas forcément physique, elle peut-être aussi morale. Résultat des courses, c’est une interdiction aux moins de 13 ans.

    A 1’54’22 pour la dernière scène tournée à Berlin, avec la mort de Seymour Hoffman, il a fallu quelque peu redistribuer certaines scènes, et C’est Woody Harrelson qui se colle à celle de la lettre.

    A 1’58’20, le « 28ème amendement » est une nouvelle fois mis en lumière. La tasse jetée sur le chat n’est que le résultat d’un montage, ce sacrilège est du reste immédiatement démenti par la productrice afin que le public ne frise pas la syncôpe. Non, on ne touche pas aux USA aux animaux domestiques ! Plus sérieusement la scène de Jennifer Lawrence n’aura demandé qu’une seule prise et démontre parfaitement l’étendue de son talent.

    Ces commentaires se terminent sur la berceuse chantée par l’actrice elle-même, ils se révèlent moins précieux que pour la 1ère partie où le plus important avait été décrit. Néanmoins il faut reconnaître qu’ils ne sont pas ennuyeux pour autant, Francis Lawrence étant un orateur plutôt concis et précis, sans tomber comme trop souvent dans cet exercice dans le promotionnel. La productrice tombe plus facilement dans le piège et n’apporte pas comme dans la 1ère partie grand-chose. L’intérêt du binôme résulte sans doute dans la manière à éviter un maximum de blanc et à ce niveau c’est plutôt réussi.

  • On attaque le 2ème gros morceau de ces bonus avec le Making of (2h21mn29s)

  • Conclure la sage (13’40) : Ce qui doit servir de support à la pré-prod est au fond une pure promotion. Le discours de la productrice sur l’intérêt d’avoir segmenté le final est loin de convaincre. Après chacun y va de son couplet, le but étant de démontrer la noirceur du sujet, la guerre, les sacrifices, la politique, le deuil. Julianne Moore est peut-être la plus sensée en indiquant que le film est fait pour les jeunes, pour démontrer les conséquences du pouvoir totalitaire. Mais l’ensemble reste avant tout fortement axé sur la promotion.

  • L’aspect visuel (10’22) : On découvre le formidable travail de Philip Messina tout d’abord par de somptueuses planches qui se matérialisent en décor. On suit la fabrication des égouts, du capitole et ses 275 mètres de façades avec ses 500 containers qui constituent un immense fond vert. On se régale à voir l’envers des décors, mais malheureusement l’ensemble se voit polluer par les indispensables flatteries et inutiles complaisances qui rabaissent le sujet encore une fois en une indigeste promotion.

  • Les acteurs (17’15) : Après les 2 premiers sujets, on pouvait s’attendre au pire car bien souvent c’est le sujet qui se consacre le plus à la promotion. Et pour une fois, on fait vraiment une revue complète du casting avec un temps consacré quasi égal pour chaque personnage, même pour ceux peu présents à l’écran. On a le plaisir d’écouter Donald Sutherland qui semble avoir pris beaucoup de plaisir. Le sujet n’est pas révolutionnaire, on n’apprend pas grand-chose comme anecdote croustillante à part ce baiser entre Woody Harrelson et Elizabeth Banks. Mais au final, saluons le fait d’avoir pris le temps de présenter autant de personnages.

  • Costumes, Maquillages, Coiffures (14’12) : Kurt Swanson et Bart Mueller (costumes), Ve Neill, Glenn Hetrick, Michael O’Brien (Maquillage), Cammile Friend (Coiffure), chacun parle avec passion de son département. On se rend mieux compte de l’investissement et du boulot considérable que cela nécessite, comme arriver 3 heures avant le tournage pour donner l’illusion d’un crâne chauve. Le temps consacré pour ces 3 départements vu la somme de travail demandé est frustrant car au final 5 minutes sont consacrées pour chacun.

  • Les lieux de tournage (13’39) : On fait le tour des villes où ont été tournées la plupart des scènes : Atlanta, Paris et Berlin. Etrangement ce sujet parait vide, car rien ne distingue les 3 villes en dehors de certaines constructions et surtout on ne fait que se balader la plupart du temps dans les ruines. A ce niveau, les commentaires s’avèrent bien plus riches notamment l’épisode à Noisy le Grand et ses autochtones peu accueillants. En dehors de voir une équipe ravie d’avoir quitté les -12 d’Atlanta, pas grand-chose à se mettre sous la dent.

  • Cascades et effets spéciaux (18’51) : Comme souvent, ce type de sujet constitue l’un des plats de résistance d’un making off. Steve Cremin (effets spéciaux), Sam Hargrave (cascades) s’attèlent à décrire respectivement leur participation. On se rend compte à quel point la préparation est primordiale. La prévisualisation reprend en entier la reconstitution de la scène avec les cascadeurs ou figurants, et suprême luxe, on peut voir l’ajout d’éléments numériques comme les flèches de Katniss pour bien se rendre compte de l’impact de la scène. Les cascadeurs font toujours un métier dangereux, on y voit certain faire des sauts de 12 mètres. Sans doute dans la volonté d’apporter une forte touche réaliste, ce sont les cascades qui s’offrent le plus gros morceau du reportage et on se ballade ainsi avec Sam Hargrave au gré des scènes et des personnages. Le sujet de loin le plus intéressant depuis le début de ce making of, même si la petite phrase inutile de promo n’est pas oubliée

  • La post-production (29’56) : Alan Edward Bell, Mark Yoshikawa et Jennifer Vecchiarello participent à la post-production et c’est l’occasion de plonger en détail sur le montage et la bande originale du module le plus fourni de ce making of. On découvre le découpage des effets numériques, la recherche pour donner les effets le plus réaliste possible ainsi que pour la bande son. Ils n’hésitent pas à utiliser pendant 2 jours, toute la panoplie des tirs d’armes automatiques que ce soit dans un entrepôt ou en montagne. Les départements se chevauchent et on passe des partitions musicales aux palettes graphiques où on assiste en direct à la construction d’une scène comme celle de l’huile toxique et ses 250 millions de point. Le sujet est très technique, on y parle de rotoscopie, mais l’important se passe sous nos yeux. Ce sujet d’une demi-heure passe à la vitesse de l’éclair tant il foisonne de détails, indiscutablement LE module de ce making of.

  • Un monde différent (23’30) : 330 jours ont été nécessaires pour faire le 3ème opus et ces deux parties. Forcément passer autant de temps ensemble noue des liens, et on sent bien que l’équipe éprouve beaucoup d’émotions sur le dernier « cut » du film. Après avoir tourné la dernière scène 1 an plus tard à Atlanta, on revient à cette dernière scène de lecture de Woody Harrelson à Jennifer. Chacun y va ensuite de son couplet, l’émotion est palpable et rend la scène improvisée sur ce pot de départ sympathique et même émouvant. La succession d’interviews qui s’ensuit est déjà moins naturelle et perd de son attrait. On termine sur le générique de tous les personnages qui ont traversé les 4 films sur une comptine chantée par Jennifer Lawrence. Une page est tournée, le succès engendré par cette franchise laissera une marque indélébile dans le box office, sans doute plus marquée que l’aspect artistique.

  • Le carnet de croquis de Cinna (9’20) : c’est une revue détaillée presque microscopique du costume du geai moqueur

  • Hunger Games l’Exposition (1’55) : On rentre de plein pied dans la promo, et au vu de ce mini reportage on se demande : à quand un parc Hunger Games ?

  • Hunger Games – un voyage en photos (18’04): Murray Close photographe de plateau nous présente son métier, commencé il y a quelques années avec un certain Stanley Kubrick sur Shining. Le sujet découpé en 2 parties parle dans un premier temps de sa participation sur Hunger Games, de la manière dont évolue un photographe de plateau au milieu de l’équipe technique, de la moindre information que peut donner le directeur de la photo ou d’un étalonneur. Il nous révèle le passage de l’argentique au numérique et de l’accroissement du travail suite à cette mutation. Pour clôturer ce reportage franchement captivant, on découvre bien sur un carrousel d’images superbes de la franchise.

  • Film annonce VF/VO
  • 5 Bandes announces

  • Quand on regarde l’ensemble des bonus proposés (2h50mn), la durée du film (2h17) les versions audio proposées (DTS-HD 7.1 pour la VF et Atmos pour la VO), on se demande comment l’éditeur a fait pour caser l’ensemble sur un seul disque. Certes avec 49,44 Go, le plein est fait mais dans une telle qualité, cela frise le miracle et donne une sacrée leçon à certaines maisons qui ne se cassent pas la tête.

    Au final, l’ensemble des bonus n’est certes pas d’intérêt égal, mais tous les départements ont le mérite d’être visités avec en tête de liste « la post production » et « cascades », à noter également « un voyage à photos ». Les commentaires même si par moment on note une redondance avec la 1ère partie, complètent les sujets du making of.


    Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    On dispose d’un boitier steelbook à la définition de grande classe. Jennifer Lawrence vampirise les 2 faces logiquement, mais le recto se contente du titre. Sur le verso, on retrouve comme trop souvent une fiche avec ses pastilles collantes. Le boitier regroupant les 2 parties du 3ème volet, la fiche se voit couper en deux. Plutôt que de rendre illisible les informations, on se contente du synopsis et du détail des suppléments. Les vignettes ne font que reprendre le visuel des blu ray par partie. Il faut donc se passer des infos techniques et à la rigueur de cette fiche volante, tant le visuel se situant en dessous est esthétique. En ouvrant le boitier, sous les 2 galettes on retrouve un visuel couvrant les 2 parties. Il illustre la statue de Snow renversée, quelques membres vedettes de la sage et bien sûr une Katniss qui domine l’ensemble.



    La sérigraphie

    C’est encore Katniss qui s’octroie la part du lion symbolisant plus que jamais le geai moqueur. La définition est excellente même dans sa dominante rouge. Toutes les infos et logos se concentrent au bas de la galette permettant de libérer au maximum le visuel. Pour une fois on peut reprocher des mentions légales un peu trop visibles.


    Note Finale : (16/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 15/04/2016 à 05:27 par montana62 : Houla oui... bien vu, c'est en effet Francis et non martin comme je le précise dans la conclusion. Sans doute un peu trop de lawrence crédité au générique :)
    - le 14/04/2016 à 21:05 par ninnin4 : Euh...c'est martin ou c'est francis Lawrence???? Bravo pour ta loupe à part ça

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