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DVD A LA LOUPE


COFFRET SF CULTE : STARGATE + TERMINATOR 2 + TOTAL RECALL (BLU-RAY + DVD)

Lui écrire montana62

Coffret SF culte : Stargate + Terminator 2 + Total Recall (Blu-ray + DVD) DVD sorti le 12/10/2010


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : StudioCanal
Distributeur :
Universal StudioCanal Vidéo

Date de sortie en salle : Stargate - 1 février 1995, T2 - 16 octobre 1991, Total Recall - 17 octobre 1990

Nombre d'entrées : Stargate - 2 698 444, T2 - 6 118 250, Total Recall - 2 360 003
Durée Stargate - 2h00, T2 - 2h16, Total Recall - 1h53

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Nombre de visites :
4224


   

Le Film : 8/10

Résumé : Stargate
Des archéologues découvrent des vestiges égyptiens révélant une machine ouvrant un passage vers une autre planète. Une équipe composée de scientifiques et de soldats franchit cette porte des étoiles pour découvrir un monde désertique dont la population est sous la coupe d'un tyran.
Fiche technique : Film Franco-Américain de Roland Emmerich, Scénario : Roland Emmerich, Dean Devlin, Décors : Holger Gross, Costumes : Joseph A. Porro, Photographie : Peter Krause, Karl Walter Lindenlaub, Jonathan Taylor, Montage : Derek Brechin, Michael J. Duthie, Musique : David Arnold, Production : Dean Devlin, Oliver Eberle, Joel B. Michaels.
Distribution : Kurt Russell : Colonel Jonathan « Jack » O'Neil, James Spader : Docteur Daniel Jackson, Jaye Davidson : Râ, Viveca Lindfors : Catherine Langford, Alexis CruzMili Avital : Sha'uri, Leon Rippy : Général W. O. West, John Diehl : Lieutenant Charles Kawalsky.

Avis :  Après s'être éparpillé dans quelques série B, Roland Emmerich s'attaque à la première division avec cette première œuvre majeure en 1994, doté d'un budget confortable, le film affiche déjà de sacrés prétentions de la part de son auteur.

Avec cet égyptologue décryptant rapidement la clé pour se balader dans l'univers, le réalisateur prend de sacrés raccourcis pour nous plonger dans son univers très kitch. "De l'action rien que de l'action", semble être l'unique objectif de cet allemand faisant fi de la psychologie des personnages. L'entreprise s'avère divertissante, mais on a de quoi nourrir quelques regrets tant l'idée de départ pouvait laisser place à de sacrés aventures.

L'interprétation manque singulièrement de charisme, James Spader en prof surdoué - baba cool est loin d'être convaincant et Kurt Russell en fait un peu trop dans la caricature outrancière du bon soldat. Cette opposition de style marque du reste le parcours d'Emmerich avec notamment les boursouflés Independance Day ou Godzilla. Cette démagogie scénaristique colle à l'homme comme un chewing-gum à la semelle et tempère hélas l'exaltation de ses images. Néanmoins Stargate est une réussite financière pour ses heureux producteurs et connait un franc succès dans l’hexagone avec 2,7 millions de spectateurs.

Stargate reste au final un honnête divertissement même si notre plaisir s'avère un peu trop bridé.
Note : 7/10

Terminator 2
Résumé : Au lendemain de l'holocauste nucléaire du 29 août 1997, les survivants humains sont entrés en résistance contre la dictature des machines. L'ordinateur qui les contrôle, Skynet, envoya en 1984 un Terminator, un cyborg, afin d'éliminer Sarah Connor dont le fils, John Connor, était appelé à devenir le chef de la résistance humaine. Après la destruction du cyborg, Skynet envoie en 1994 un T-1000, dont la mission est de supprimer John Connor, alors âgé de 10 ans. Plus perfectionnée, cette nouvelle machine est constituée d'un « poly-alliage mimétique », ce qui lui permet de changer de morphologie à volonté. Cependant, la résistance prend soin d'envoyer un Terminator T-800, capturé et reprogrammé afin de protéger John.

Fiche technique : Film américain de James Cameron, Scénario : James Cameron et William Wisher Jr., Directeur artistique : Joseph P. Lucky, Décors : Joseph Nemec III, John M. Dwyer, Costumes : Marlene Stewart, Maquillages : Stan Winston et Jeff Dawn, Photographie: Adam Greenberg, Effets spéciaux : Stan Winston, Joe Viskocil, Animation et effets visuels : Dennis Muren, Montage : Conrad Buff, Mark Goldblatt et Richard A. Harris, Musique : Brad Fiedel, Production : James Cameron ; Gale Anne Hurd, Mario Kassar (exécutifs).

Distribution:Arnold Schwarzenegger : Le Terminator T-800 Modèle 101, Linda Hamilton : Sarah Connor, Edward Furlong : John Connor, Robert Patrick : T-1000, Joe Morton : Miles Bennett Dyson, Earl Boen : Dr. Peter Silberman, S. Epatha Merkerson : Tarissa Dyson, Jenette Goldstein : Janelle Voight, Xander Berkeley : Todd Voight, Ken Gibbel : Douglas, Castulo Guerra : Enrique Salceda, Danny Cooksey : Tim.

avis : James Cameron en faisant revenir du futur son Terminator, va complètement révolutionner le septième art à plus d’un titre. Tout d’abord par l’aspect visuel avec cette masse liquide s’adaptant à n’importe quelle morphologie, le T1000, ou cette explosion nucléaire d’une précision chirurgicale pour l époque. Derrière cette explosion d’effets spéciaux, apparait également l’explosion des budgets, les superstars conservent certes leur cachet astronomique, mais les sociétés fabriquant ces effets engloutissent également une grosse part du budget, c’est ainsi que ce T2 est le premier film a dépassé les 100 millions de dollars.

James Cameron réussit cependant le tour de force de mettre au service de l’intrigue et non l’inverse ces splendides effets de morphing pour une suite qui surpasse en tout point son premier opus. Le point de départ marque la roublardise du scénario, alors que ce T800 massacrait dans le numéro 1tout humain sur son passage, ici il se met au service d’un gamin pour le protéger d’un prédateur encore plus redoutable.

Le rythme est époustouflant, à l’image de cette mise en scène magistrale du camion poursuivant John Connor, mais ce qui assoit la maîtrise total du projet est ce nouveau composant absent lors de la première séquelle, l’humour. Arnold Schwarzenegger derrière son impressionnante plastique, fait preuve de quelques tirades savoureuses comme cette scène où il vide son chargeur sans raison sur un gardien en précisant, « il vivra ». En cassant cette image de prédateur, Cameron réussit le tour de force de rendre cette machine sympathique, confirmant son énorme talent de conteur.

Si le budget pour l’époque est hallucinant, les recettes le sont tout autant, atteignant les 500 millions de dollars. Au succès public, le film se voit également récompensé par 4 oscars techniques, meilleurs effets visuels, son, montage sonore et maquillage. Terminator 2, 20 après conserve toujours un impact visuel formidable malgré quelques effets dépassés. Grâce à un scénario en béton, ce divertissement haut de gamme reste toujours une référence en matière de science-fiction et surtout place James Cameron comme l’un des réalisateurs les plus rentables de l’histoire du cinéma.
Note : 10/10

- Total Recall
2048. Doug Quaid rêve chaque nuit qu'il est sur la planete Mars à la recherche de la belle Melina. Sa femme, Lori, s'efforce de dissiper ce fantasme. Doug va bientot s'apercevoir que son rêve était artificiel et que sa femme est une espionne chargée de veiller à son reconditionnement mental. Il se souvient d'un séjour réel sur Mars, à l'epoque où il était l'agent le plus redouté du cruel Coohagen. Il decide de s'envoler sur Mars à la recherche de son énigmatique passé.

Fiche technique : Film américain de Paul Verhoeven, Scénario : Ronald Shusett, Dan O'Bannon et Gary Goldman, Production :Buzz Feitshans, Ronald Shusett, Robert Fentress, Mario Kassar, Andrew G. Vajna, Musique : Jerry Goldsmith, Bruno Louchouarn, Photographie : Jost Vacano, Montage : Frank J. Urioste, Décors : William Sandell.
Distribution : Arnold Schwarzenegger : Douglas Quaid / Hauser, Michael Ironside : Richter, Sharon Stone : Lori Quaid, Rachel Ticotin : Melina, Ronny Cox : Vilos Cohaagen, Marshall Bell : George / Kuato, Mel Johnson Jr. : Benny, Michael Champion : Helm, Roy Brocksmith : Dr. Edgemar, Ray Baker : Bob McClane, Robert Costanzo : Harry, Rosemary Dunsmore : le docteur Renada Lull, Dean Norris : Tony, David Knell : Ernie.

- avis : Avant de plonger dans le sulfureux basic Instinct, Paul Verhoeven adapte très librement cette nouvelle de philippe K. Dick "We can remember it for you wholesale", une œuvre de science-fiction qui marqua les esprits en cette année 1990 par un scénario emprunt d'une sacré roublardise.

Pouvoir se payer un voyage intergalactique à moindre frais et surtout sans risque, voilà un projet assez séduisant pour cet ouvrier de chantier et cerise sur le gâteau, l'agence de voyages propose un large éventail d'options, jeux de rôles et femmes de rêves. Le seul hic est que le processus va réveiller la véritable identité de notre héros et le début d'un métrage survitaminé. Paul Verhoeven ne lésine pas sur les scènes de combat et l'hémoglobine, cela gicle généreusement au fil des scènes et des victimes, heureusement le ton employé désamorce quelque peu ces scènes gores au profit de pas mal de clins d'œil. La mise en scène alerte et rondement menée nous amène sur cette planète peu hospitalière avec ces mutants aux faciès très particuliers pour un épilogue dévastateur à plus d'un titre.

Arnold Schwarzenegger se taille une fois de plus la part du lion, il cogne, flingue, explose à tout va et trouve encore le moyen de faire un câlin à la sublime Sharon Stone. Cette dernière a beau avoir une carrure moins balaise, à chaque fois qu'elle traverse l'écran c'est un enchantement pour les yeux, on comprend mieux l'instinct du réalisateur et son choix basic pour son film suivant.

Total Recall s’avérera au final très rentable en multipliant par 4 sa mise de départ avec un beau succès public en france avec près de 2,5 millions de spectateurs. Le film aura même 2 nominations aux oscars pour le son et les meilleurs effets sonores.

Total Recall accuse le coup pour ses effets spéciaux un peu trop visibles et ses découpages grossiers, mais conserve encore un gros capital sympathie pour ces personnages et son scénario roublard jusqu'à la dernière seconde. Et puis, voyager sur Vénus avec Sharon Stone, ce doit être diablement tentant.
Note : 8/10


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L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Stargate : Format : 2.40 - 16/9 compatible 4/3

Avis : Dès le générique, on apprécie la profondeur et la franchise de ses contours, on note quelques petits fourmillements, mais le contraste très solide et surtout une palette colorimétrique bien retravaillée gomme certaines imperfections. C’est la plus belle copie des 3 qui frôle la note maximale.
Note : 2,5/3

Terminator 2 : Format 2.35 - 16/9 compatible 4/3
avis : Logiquement supérieur à sa version SD, on note malgré tout quelques plans manquant de netteté et une gestion des noirs pas toujours au top. La palette colorimétrique accuse également quelques souffrances comme ce teint un peu trop orangé de Robert Patrick. En dehors de cela, le travail de restauration est excellent avec un contraste aussi solide que le T-800, même si la copie ne peut faire jeu égale avec les dernières productions, on redécouvre franchement ce film avec grand plaisir.
Note : 2,5/3

Total Recall : Format 1.85 - compatible 4/3
avis: Une petite déception pour la copie proposée surtout sur vidéoprojecteur, la précision sur la définition est assez inégale, les contours manquant parfois de netteté, il faut reconnaître que sur LCD c’est moins flagrant. Les premières minutes frôlent même la catastrophe, heureusement la seconde partie se rattrape avec un contraste plus soutenu et une définition digne de ce nom. La paradoxe se situe sur Mars, cette terre rouge donne une belle profondeur d'ensemble mais affiche un découpage des personnages franchement grossier. La copie la plus faible des 3.
Note : 2/3


Le Son : 2.5/3

Détails techniques : Stargate
DTS-HD Master Audio 7.1 - Anglais, DTS-HD Master Audio 5.1 Français, Allemand
Sous-Titrage : Français, Allemand

Avis : A l'image de son réalisateur, c'est du lourd, les canaux surrounds sont utilisés en permanence, le dynamisme est imposant, attention au voisinage. La VF tient le choc face à son homologue anglais même si une fois encore la précision est à mettre au crédit de la VO. En prenant les mesures, on s'aperçoit que les chiffres sont quasiment multiplié par 2, on atteint presque les 6 Mbps pour la VO alors que la VF a bien du mal à atteindre les 2,5 Mbps, il faut comparer ce qui est comparable. A noter qu'on ne dispose pas de VF pour la Director's Cut, dans tous les cas, notre installation est à la fête.
Note : 3/3
Terminator 2
DTS-HD Master Audio lossless 6.1 - Anglais, DTS-HD High Résolution 3108Kbps - Français, DTS-HD Master Audio 7.1 - Allemand, DD 2.0 224Kbps - Anglais, Allemand
Sous-Titrage : Anglais, Français, Allemand, Turc
Si l'image a suivi un lifting en règle, la bande son est tout simplement hallucinante. Déjà la VF bénéficie d'un encodage de 3Mbps permettant de bien jouer avec notre installation home-cinéma, le caisson ne fait pas dans la demi-mesure, c'est le moins que l'on puisse dire. Et c'est sans doute là que se fait la différence avec la VO plus précise et plus équilibrée, mais ne faisons pas la fine bouche, dans les 2 cas on se régale. Il est à noter que lors des scènes rajoutées, on passe automatiquement en VO sous-titrée.
Note : 3/3

Total Recall
DTS-HD Master Audio 5.1 - Français, Anglais, Allemand, Italien DTS-HD Master Audio 2.0 - Espagnol, Portugais (Brésil), Russe
Sous-Titrage : Anglais, Français, Allemand, Italien, Castillan, Danois, Néerlandais, Finnois, Norvégien, Russe, Suédois, Portugais (Brésil)
La bonne surprise de disposer d'une piste HD pour la VF est vite étouffée par un mixage qui n'affiche pas toujours une bonne précision. Le dynamisme parait supérieur à la VO mais souvent les dialogues ont tendance à perdre de l'amplitude dès lors que les effets entrent en jeu. Les surrounds ne sont pas beaucoup utilisés et les basses manquent de profondeur. On note pour les 4 versions HD en 5.1 un "bridage" puisque les chiffres culminent à 2Mbps, pour le HD en 2.0 on ne dépasse pas les 1Mbps. Au final, le rendu est bien évidemment largement supérieur à la maigre version SD, mais son mixage assez faible traduit les années.
Note : 2,5/3


L'Interactivité : 2/3

L'ergonomie des menus :
Le menu principal de Stargate propose propose l'envoi du Film, Chapitres (15), Bonus et enfin Versions pour le choix de la langue et des sous-titres. L'interface très agréable se fond dans cette pyramide et ces hiéroglyphes.


Les bonus :

Pour Stargate on peut choisir 2 versions, la version Cinéma (2h00mn58s) et la version (2h09mn50s), il est à noter qu’il n’existe pas de VF en dehors des sous-titres, juste une version Anglaise et Allemande. Pour les bonus on démarre avec :

  • - Stargate - Bâtir l’histoire (22’19) Le reportage bâti sur 3 volets est loin d’être inintéressant, le seul problème est qu’on retrouve un peu plus loin un second making-of bien plus dense, cela fait donc forcément redondance.
  • - Le Making-of (52’02) frappe d’emblée par rapport au premier sujet par sa qualité d’image très moyenne. Le reportage découpé en 9 volets s’appuie sur pas mal d’images d’archives, on retrouve inévitablement des sujets déjà présents sur Bâtir l’histoire, mais ce second bonus s’avère largement supérieur.
  • - Y’at’il une porte des étoiles (12’11) se base sur les recherches du suisse Erich von Däniken, persuadé de la visite d’extra-terrestres et responsable de quelques réalisations comme la pyramide de Khéops, pourquoi pas...
  • - La vision d’origine (17’19) découpée en 5 parties résume ce que l’on a déjà vu auparavant, il y avait à mon avis quelque chose à faire pour compresser les données de ces 2 making-of et demi afin d’optimiser un sujet unique.
  • - B-Roll (6’03) quelques petits bouts de scènes préparées et tournées qui pouvaient également s’intégrer dans le making-of
  • - Bétisier (3’13) est en fait un mini sketche permettant de faire rapidement le tour de l’équipe technique, sympathique.
  • - Stargate - l’ultime voyage (PIP) fera le bonheur des accros à l’interactivité, même si on retrouve déjà pas mal d’infos distillés sur les précédents reportages
  • - Les commentaires de Roland Emmerich et Dean Devlin lassent vite par le ton employé, les félicitations et les complaisances sont employées à tout va, à force ça irrite un peu, il faut attendre à peine 1minute 30 pour entendre les premières éloges à l’encontre du compositeur David Arnold. On découvre tout de même des anecdotes comme ces sparadraps collés sur les tétons de Jaye Davidson parce qu’il refusait de retirer ses percings ou le militaire à qui James Pader emprunte la page de journal est en fait son chauffeur.
  • - On termine avec la bande-annonce (2’38) en VO sous-titré VF et la partie promotion avec BD-Live (connexion obligatoire avec Internet) pour découvrir 3 bandes annonces et la communauté de Stargate.


  • Si on regrette une certaine redondance sur les sujets, en particulier les making-of et une complaisance un peu trop franche, on est obligé de reconnaitre l’abondance faisant le tour avec tous les moyens possibles, commentaires, PIP et bien sur making-of.

  • Note : 2.5/3
  • Le menu principal de Terminator 2 propose Choisir la version di film, Navigation permet de mettre des signets pour choisir ses scènes, Commandes système permet de sélectionner la langue - les commentaires - les sous-titres - D-box (pour ceux qui disposent de l'appareil) - Configuration THX, Modes interactifs pour les bonus, Données supplémentaires parties promotion du film, Accès Skynet permet par une connexion internet de télécharger des suppléments. La navigation dans les menus et l'interface sont superbes. Il est possible de changer à la volée la version audio et les sous-titres

  • Pour Terminator 2 :

  • On peut choisir 3 versions, la version cinéma (2h17mn20s), La director's Cut (2h33mn26s) enfin la version longue Director's Cut grâce au code 82997 (2h36mn08s)

  • On retrouve 2 commentaires le premier avec 26 personnes (équipe technique et acteurs), c'est Van Ling (directeur artistique de la production) qui présente les intervenants en ajoutant quelques mots. A tout seigneur tout honneur, c'est au réalisateur James Cameron que revient le privilège de démarrer ce marathon d'intervenants. Petit détail pratique, une petite vignette permet d'identifier tous les intervenants. Pour le second commentaire, c'est bien sûr le réalisateur James Cameron et le scénariste William Wisher (bill) pour les intimes qui se collent à l'exercice et ne sont pas avares de détails et d'anecdotes.

  • Modes Interactifs propose 8 menus complètement basés sur l'interactivité :
  • - Le 1er module Implants visuels est la making-of sous forme de Picture in picture. On peut visualiser directement les 69 segments qui composent ce making-of, généralement très court, ils oscillent entre 10 à 30 secondes, quelques-uns dépassant la minute
  • - Le second Module info& anecdotes propose comme son nom l'indiques des infos, malheureusement non traduites en français
  • - Le troisième Module données de production affiche des infos sur les méthodes de tournage, malheureusement toujours en anglais non sous-titré
  • - Le quatrième Modules interactifs connectés propose 59 modules d'infos complémentaires appuyés par des diaporamas et cette fois-ci sous-titrés en français.
  • Le cinquième module Code source affiche le scénario original en anglais pendant le film
  • Le sixième module Esquisses affiche les story-boards pendant le film
  • Le septième module propose un quizz pour tester les connaissances de T2
  • Le dernier module Tests processeur permet de tester nos performances sous forme de mini-jeux pendant le film

  • Cette première grosse partie complètement axée sur l'interactivité ravira les amateurs du genre, on déplore malgré tout quelques modules en VO non sous-titrés. Pour ceux désireux d'aller à l'essentiel, il existe quand même la possibilité de choisir directement avec les modules 1 et 4, le segment voulu.
  • La seconde partie Données supplémentairesdémarre avec la promotion :
  • - 1 Teaser (1'17)
  • - 2 Bandes annonces (1'40) et (2'05)
  • - 1 Bande annonce Director's Cut (2'27) en HD
  • - 1 Bande annonce THX sous forme de logo détourné

  • On dispose également de 2 scènes coupées avec les commentaires ou non :
  • - La recherche du T-1000 (1'27) Le T-1000 découvre en fouillant la chambre de John ses photos dans une petite boîte, scène dispensable.
  • - La séquence du futur (1'50) Une fin beaucoup plus optimiste mais sans grand intérêt, le maquillage est même raté.

  • La dernière partie Accès Skynet permet par le biais d'une connexion internet d'avoir des suppléments sur le film. On retrouve :
  • - Biographies - Filmographies : (8)
  • - Scènes cachées : (6)
  • - Galeries de photos : (11)
  • - Exclusive Terminator 2 vidéos : (3)
  • - Japanese Trailer : (5)
  • - Terminator 2 Bd-live community permet d'accéder à d'autres informations comme des galeries de photos mais en anglais
  • Il reste enfin 2 menus à déverrouiller

  • C’est une grosse satisfaction pour l’ensemble des bonus proposés, qui nous permet malgré l’âge de disposer d’informations complètes et passionnantes

  • Note : 3/3
  • Le menu principal de Total Recall propose l'envoi du Film, Versions pour le choix des langues, Chapitres (16) et En + pour le bonus et les réglages Vidéo et Audio. L'interface très agréable s'appuie sur des scènes du film.

  • Pour Total Recall il faut se contenter d'un unique bonus :

  • - Models & Skeletons (23'15) bâti sur les effets spéciaux. Mark Stetson et Tim Mc Govern nous proposent ce qui s'apparente plus à un mini commentaire qu'un reportage sur les effets spéciaux. On dispose très peu d'images d'archives, de plus de mauvaises qualités, il faut donc se contenter de quelques détails sur les décors volumineux et quelques anecdotes comme cette motion capture réussie sur une erreur de costumes ou ce chien se soulageant derrière cette fausse plaque de rayon X. Un reportage d'un intérêt vraiment mineur.

  • C’est une grosse déception pour un film qui méritait un peu plus d’attention.

  • Note : 0.5/1

  • Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Un steelbook qui cumule les 3 titres avec une belle réussite esthétique grâce à un choix judicieux des visuels et des couleurs. Le verso réussit à garder une bonne lisibilité pour les 3 titres en affichant la jaquette originale, un résumé et les éléments techniques



    La sérigraphie

    La sérigraphie est splendide pour Stargate, reprenant la pierre sphérique sur deux teintes majeures, la première illustrant son lieu de découverte le désert et la seconde le passage dans cette masse liquide. Pour T2 la sérigraphie illustre le terminator épuré de toute couleur sauf l’œil du cyborg, astucieux. Total Recall constitue le maillon faible puisque la sérigraphie fait dans le minimum avec ce fond noir prédominant où l'on discerne juste quelques planètes lointaines.

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (16/20)

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