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DVD A LA LOUPE


PULP FICTION - EDITION 2007

Lui écrire Cole

Pulp fiction - Edition 2007 DVD sorti le 06/12/2007


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Bac Vidéo
Distributeur :
Aventi

Date de sortie en salles : 26 octobre 1994
Nombre d'entrées : 2 820 000
Durée du film : 2 h 28 min.

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Nombre de visites :
2522


   

Le Film : 8/10

Résumé : Pumpkin et Honey sont deux voleurs qui, après avoir manger dans un café, décident que la meilleure chose à faire est de le braquer. Vincent et Jules sont deux tueurs à gages qui travaillent pour le boss Wallace, ils sont en mission pour récupérer une mallette très spéciale et très mystérieuse qu'on a dérobé à leur patron. Vincent doit aussi s'occuper de Mme Wallace et lui faire passer un bon moment car Wallace est de sorti. Vincent prend sa femme pour une nuit dans la ville. Les choses se déroulent sans heurts, jusqu'à ce que l'un d'eux fasse une énorme erreur. En fait Wallace s'occupe actuellement de Butch, un boxeur sur le déclin qu'il a payé pour tomber lors de son dernier combat. Mais Butch tue accidentellement son adversaire et cherche maintenant à fuir la ville, car Wallace à parier gros sur sa défaite...

Avis : L'histoire du Film : Encore un Film particulier, véritable classique de genre au box office, Quentin Tarentino offre une vision ultra violente et quelques séquences chocs du cinéma policier donc tout a fait imaginable et interdit en moyenne dans le monde aux - de 16 ans. Un montage des scènes assez inédites dans ce genre de film, sans se soucier des notions temporelles, avant, après, ou l'avant d'après car en fait il termine comme il commence... Lors de sa sortie «victime» du public, il rencontre un énorme succès. Le réalisateur est un passionné de cinéma et il hésite à joué le rôle du «dealer». Il inclut beaucoup de scènes ou des répliques analogues dans des classiques et qui en plus on déjà été reprise au moins une fois, sacrément fort Tarentino. Dans le film des hommage à Elvis et toujours, ses références des ses propres films, avec 265 le mot «fuck» et un budget de 8 millions $ dont 5 millions pour les acteurs et il rapporte 106 millions $ au cinéma. Oscar et Golden globe du meilleur scénario, palme d'or à Cannes, meilleure film et meilleure séquence au MTV award, soit 40 victoires et 48 nominations.

L'Equipe du Film : Coté acteurs et anecdotes, il écrit de nombreux rôles en pensant aux acteurs, comme Samuel L Jackson, mais sans nouvelles Tarentino choisira un autre acteur, mais l'apprenant, Samuel L Jackson prend l'avion et obtient le casting pour le rôle, Mia c'est Uma Thurman qui refuse le rôle, tarentino désespéré lui lit toutes ses scènes par téléphone pour la convaincre, et bien sur, john travolta à lutter pour obtenir le rôle et signe l'un des plus grand retour d'acteur oublié, mais n'obtient que 150,000 $. Sylvester Stallone était pressenti pour jouer Butch, Michelle Pfeiffer pour le rôle de Mia, Kurt Cobain et Courtney Love pour jouer Lance et Jody...

Je suis allé le voir en salle, ce film m'a laissé un souvenir glacial avec quelques passages bluffant, et une bande originale magnifique... La traduction du film est Fiction pulpeuse, sa vient des Pulp magazines qui étaient des publications pas chers (10cents) et qui ont eût un véritable succès de 1910/1950 aux Usa. Généralement rédigé à partir d'un fait plus ou moins réel ou d'une légendes mêlant tous les styles une romance un détective ou la science fiction, les auteurs seront connus comme celui de tarzan ou Conan le barbare. Et qui finalement se révèle être une expérience assez intense dans ce film...

Le Film : Tout commence par le logo des Éditeurs, la traduction du pulp magazine, et l'image apparaît brusquement lors d'un l'interlude dans un bar, avec un couple aux dialogues spontanés sur les braquages. Puis ça passe de manière rapide de la discussion à l'action ou arrive l'excellent générique aux musiques dynamiques. Le film commence sur 2 nouveaux personnages, qui parlent de la vie et des paradis artificiels en hollande, ou de la traduction des sandwich Mac Donald en France, les dialogues sont étonnants, et rapidement captivants. Le rythme est très rapide, et l'ambiance change encore plus vite lorsque les armes apparaissent, mais ce style est assez déroutant grâce aux discussions à contre pied de l'action créant un anachronisme et un suspense sympathique. L'histoire se met en place, lorsque les 2 personnages débarquent dans un appartement ou l'ambiance converge, dans une violence intense.

Quand une transition radicale nous amène dans une autre histoire avec d'autres personnages, faisant même apparaître un titre de la nouvelle partie du film. Coté casting, c'est le festival de superstars, dans un genre osé à l'atmosphère très sombre, malgré des dialogues hauts en couleurs, dans une réalité hors normes. Ce qui est sure c'est que la coupure dans un moment opportun remonte l'intensité du film. Les histoires s'entrecroisent en gardant comme point de repère les différents personnages, opérant même des transitions entre les personnages d'histoires différentes, lors de la scène culte entre Travolta et Bruce Willis au bar. En fait il s'agit d'un montage subtile et intelligent comme file conducteur.

L'ambiance monte rapidement vers une partie plus violente, dérangeante et limite supportable, avec pour chaque scène une excellente bande musical. On entre de plus en plus dans le vif du sujet, lors de l'incroyable rencontre de deux mondes opposés, ce qui permet une transition hilarante. On rentre alors dans la longue scène du restaurant, puis la scène culte et délirante de la danse. Cette scène continue mais lors du retour du restaurant avec La musique du film, et la scène de la salle de bain.

Mais les événements se compliques, lorsque la dame trouve la pochette dans la veste et le film prend alors une tournure plus violente et totalement inattendue, qui termine cette partie efficace de façon bien étrange, et très violent, le réalisateur se lâche dans une scène narcotique efficaces et maitrisé par les acteurs. Puis la parfaite transition, nous ramène dans une autre histoire, celle du boxeur, introduit de façon incroyable avec un nouveau titre. Les acteurs, les décors, les couleurs, et les dialogues sont pertinents mais noyés dans l'ensemble vraiment captivant, qui repars dans un énorme délire lors de la scène du taxi.

Autre histoire autre ambiance tout aussi étrange, et un rythme subitement plus lent et moins punch ou l'action traine à démarrer lors d'un huis clos entre un couple amoureux, jusqu'à la scène culte car la montre a disparu, permettant de relancer l'action. La courte séquence du trajet vers l'hôtel est géniale avec un effet de caméra qui suit Butch dans le terrain vague, sa permet une rencontre entre 2 superstars du box-office, pour de nouveau provoquer un effet original de lier 2 histoire grâce aux personnages. Mêlant dans le même temps 2 thêmes, chance et malchance pertinent «les Wc et le grille pain».

Bref, le rythme du film est maintenant plus rapide et la violence apparaît subitement, dans un délire déjanté, totalement imprévisible opérant une transition proche d'un film d'horreur, à l'intensité redoutable et habile grâce à un 2nd degré puissant, malgré la violence. Cette scène aux allures de final semble clôturer les 2 histoires et signe donc un nouveau départ, avec une nouvelle histoire et un nouveau titre, revenant dans le passé dans une scène de la 1ere histoire tout en continuant l'action, un concept étonnant et déroutant.

Fidèle au concept du film, l'histoire part vite dans une histoire incroyable et violente, ou apparait le réalisateur dans les traits d'un nouveau personnage avec rapidement un autre megastar qui apparaît dans un nouveau personnage. L'histoire se met en place, de façon moins étrange mais toujours délirante, avec un style polar qui signera la dernière partie du film. Rapidement l'équipe se sépare, opérant une dernière transition sur, l'interlude du film afin de terminer en douceur, et la superbe réalisation du film.

Avec une réplique qui résume assez bien l'ambiance «Épisode à suivre» qui termine se film sur une note déjanté et positive. Une œuvre intense avec des passages incroyables et des performances d'acteurs sympathique, malgré l'absence d'un thème «continu», en fait c'est le concept est originale mais malgré ces éloges, ça manque à mon avis d'un intérêt, malgré ses multiples qualités, qui mérite qu'a être vu pour ce faire sa propre opinion...


L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 2.35:1

Avis : Concernant la qualité de l'image du Dvd et surtout du film, c'est grandiose, la lumière et les contrastes sont remarquables, tout comme les couleurs subtilement placées, et d'une intensité redoutable ! En fait l'image dispose d'un entrelacement qui donne l'illusion que les pixels sont nettement plus fins. Les décors, les costumes et les éléments sont particulièrement pertinents...


Le Son : 2.5/3

Détails techniques : 5.1 Dolby Digital en Français – 5.1 en V.O sous-titrés en Français.

Avis : La qualité sonore est aussi incroyable, d'abord la bande son est géniale, mais ce sont les nombreuses répliques qui fond mouche à chaque vision de ce film. La bande son est continue et ne se relâche jamais on assiste à un festival, tout comme les bruitages assez soutenus avec parfois un Punch incroyable comme les scène de tirs, ou encore l'écho dans la voix de Marcellus Wallace... Les effets surround sont nombreux et particulièrement efficaces.


L'Interactivité : 1/3

L'ergonomie des menus :
Tout d'abord le menu est lancé avec une introduction, fidèle au film. Le menu principal est une images fixe très moyenne ou on peine a voir le peu d'option qui s'offre à vous. Soit le film, les chapitres, puis une sorte de lecteur cassette à bande pour le menu audio, et une clef au porte clef du personnage le plus machiavélique Z, pour le lien internet. Le menu chapitre est purement magnifique, le livre du menu principal est maintenant ouvert comme une bande dessiné, avec chaque image animé, et le nom du chapitre le choix se fait avec une revolver et le son se déplace d'image en image avec une réplique a chaque fois, c'est très sympathique, et le changement de page est incroyable. Le menu chapitre donne accès aux menu audio. Le menu audio, est une image fixe assez minable, doté d'un thème étonnant bref il propose 2 versions et l'envoi du film a partir de ce menu. L'ergonomie est correcte, et les différentes animations excellentes.


Les bonus :

Pas de Bonus, la jaquette annonce des bandes annonces mais je l'ai est pas encore trouvés ?

  • Le lien vers le site, qui vous envois sur un lien PC du Dvd, mais absent du Dvd !!! C'est pas très sérieux.

  • Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Un boitier classique, très fidèle au film, l'affiche est "l'officielle" sortie au cinéma à l'époque de sa sortie et qui fait penser a un roman policier à 10 cents... l'arrière est a l'image du film une réussite, et coïncidence je reprend moi aussi 2 des images pour ma loupe ! La couleur jaune pastel est judicieuse. Un classique de genre. Attention quand même ce film est interdit aux moins de 12 ans mais comporte des scènes assez violentes...



    La sérigraphie

    Assez banal, la sérigraphie reprend l'affiche du Dvd, le grain est parfait, avec des logos assez nombreux et des mentions minuscules mais illisibles.

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (14.5/20)

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