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DVD A LA LOUPE


LAST ACTION HERO - EDITION BELGE

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Last action hero - Edition belge DVD sorti le 10/11/1999


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Columbia / Tristar
Distributeur :
Columbia / Tristar

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Nombre de visites :
809


   

Le Film : 10/10

Résumé :  Grace a un billet magique, Danny Madigan, un enfant de onze ans, peut vivre les aventures de son policier préféré, Slater, croisé des temps modernes. Ensemble ils affrontent force danger et triomphent toujours. Mais les choses se compliquent lorsque des personnes mal intentionnées s'emparent du billet magique et gagnent New York, ou le crime paie encore plus qu'au cinéma...

Avis : Schwarzenegger, F. Murray Abraham,C. Dance, A. Quinn, S. Stone, S. Stallone, R. Patrick, Ian McKellen, D. Wayans, JC Van Damme, J. Belushi…. Peu de films aujourd’hui peuvent se vanter de regrouper autant de têtes d’affiche des années 80-90 (Ocean’s Eleven et consort réunissent plutôt des petites têtes de la fin des années 90 et du début des années 2000). Mais un bon casting ne fait pas un bon film, loin de là. En son temps, la maison aux esprits ne fut qu’un demi succès (pourquoi avoir pris Irons et Ryder ???) alors que Sleepers s’en sortait à peine (le film est assez bon, malgré un nombre de clichés impressionnants et un de Niro en toute petite forme, faisant passer le Fan pour un chef d’œuvre aux 10 oscars).

Pour ce film, rien de tout ça. Schwarzy, M. bancable en chef de l’époque parvient à nous produire un excellent film d’action (pour le degré premier) doublé d’une mise en abîme des productions à la Die Hard - et vu le réalisateur, le tout est donc assumé en toute bonne foi, ce qui permet de dire que John Mc Tiernan s’est lui-même parodié, n’hésitant pas à en faire des tonnes dans la surenchère d’effets spéciaux et pyrotechniques tout en forçant au maximum les caricatures de méchants comme pour Anthony Quinn - tout en nous offrant une parodie savoureuse de sa filmographie. Et il fallait le faire. Schwarzy n’est donc pas qu’un grand autrichien incapable d’aligner moins de 400 mots de vocabulaire mais au contraire un comique qui s’assume.

Partant d’une idée de base plusieurs fois reprise par la suite (le fait de passer dans un monde fictif et inversement a pour l’exemple, été reprise dans Jumanji) très novatrice, les deux bonhommes parviennent à nous faire rire (dans une première partie où le jeune Madigan conscient de l’aspect carton pâte d’Hollywood ne parvient pas à se faire comprendre par un Schwarzy au mieux de sa forme fictive , dixit la scène du plongeon dans le goudron ou celle du vidéoclub) et à nous faire réfléchir (dans une deuxième partie où Slater se retrouve dans le monde réel, pour nous) . Et c’est dans cette seconde heure que le film tourne en roue libre en nous donnant à voir les coulisses d’un monde que l’on connaît pourtant par cœur et où les vrais bad guy se révèlent dans toute leur splendeur, démontrant une capacité d’adaptation stupéfiante . Autant Slater est complètement perdu et découvre avec joie les plaisirs de Mozart alors qu’il ne connaissait que des bandes sons propres aux popcorn’s movies, autant Benedict tire parti de la situation en utilisant les plus grands monstres du cinéma (McKellen portait donc les grandes robes depuis fort longtemps…).

Le mieux dans cette histoire reste que l’on ne s’ennuie pas une seconde, que ce soit dans les clins d’œil au cinéma en général (Murray Abraham comparé à juste titre à Salieri qui a tué Mozart) et au blockbusters d’action en particulier (nonobstant les divers caméos, on notera toujours le passage au vidéoclub ou bien encore le fait que le gamin parvienne à décoder les relations entre les personnages en clin d’œil , que Slater , dans un appartement vide parvienne à éliminer ceux qui étaient venus le tuer et pour en finir le moment où Elliot nous fait un clin d’œil plus qu’osé alors qu’on se dit qu’ils n’ont tout de même pas eu assez de culot pour le faire…) .

Depuis Hudson Hawk et son concert d’invraisemblables rebondissements, je ne m’étais pas autant marré.


[ Voir le Logo Détourné pour ce DVD ]

L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 2.35:1

Avis : La première partie, propre aux pop corn movies est lumineuse et maîtrisée. Les villes américaines n'ont jamais été aussi cheap à l'écran et le rouge T shirt de Slater est éclatant.
Le seconde partie souffre de ses passages nocturnes. Visiblement, comme on n'aura pas mieux dans les prochaines années (un bluray peut être ), on s'assoit dessus et on profite malgré tout!


Le Son : 1.5/3

Détails techniques : Dolby Surround 2.1 français, allemand, espagnol et italien – Dolby 5.1 en anglais / Sous-titres : français, anglais, néerlandais, allemand, espagnol, italien , portugais, tchèque, hongrois, polonais, danois, suédois, finnois, norvégien, islandais, turc, grec, arabe, hébreu et enfin hindoe ! Je crois que c’est l’un des dvd les plus complets au niveau des sous titres de la Columbia !

Avis : Correct et permettant une immersion très fun lors de la première partie. Ces musiques grandiloquentes quelque soit la situation et parfaitement assumées en plus reste un panard rarement reproduisible avec les productions actuelles (pour l'exemple, l'ost de Pirates des Caraïbes 2 et 3 est abrutissant pendant la lecture du film).


L'Interactivité : 0.5/3

L'ergonomie des menus :
Le menu principal est fixe et ne propose que peu d’options. Il est assez bancal, voir illisible dans le fond, tout comme les sous sections. Pas de background musical. La navigation est difficile. Les sous titres et les langues sont heureusement sélectionnables à la volée durant le film .


Les bonus :

Les bonus sont assez classiques pour une édition de ce type :

  • Filmographes de Schwarzie et de John McTiernan
  • Une bande annonce d'époque ... qui est assez alléchante mais à la définition granuleuse et aux artefacts trop nombreux
  • Une featurette sur les coulisses du film aussi passionnante qu’une cerise perdue sur une table couverte de mousse dans ne clairière perdue au fin fond d’une forêt du Vercors.
  • Un clip vidéo de « Big Gun » peu interessant


  • Des bonus dispensables en fait et qui font désirer une édition collector avec un véritable making of. Hudson Hawk a eu droit à une édition convenable récemment. Pourquoi pas ce film ?


    Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Le boitier crystal est sympa et ne dénote pas à côté de ceux d'Aviator, Million Dollar Baby et autres SOS Fantômes 2. La jaquette est correcte mais perd le côté aventures à la Indiana Jones de l'originale.



    La sérigraphie

    La sérigraphie est sans plus avec le logo du film sur fond laser et empreintes digitales (les vôtres à force de manipuler le freesbee)


    Note Finale : (15/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 30/09/2008 à 10:53 par Ivenpast : Si j'avais pu mettre 2O, je l'aurais fait!
    - le 29/09/2008 à 23:21 par drouvre : 10/10 ! Mais alors Titanic mérite bien 11 lors :-D
    - le 29/09/2008 à 11:48 par gegeonix : C'était malheureusement la seule VF disponible sur cette galette... Bref pour un de mes premiers achat j'ai était déçu...
    ...voir tous les commentaires...

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