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DVD A LA LOUPE


FOUS D'IRèNE

Lui écrire langeikki

Fous d'Irène DVD sorti le 04/04/2001


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : 20th Century Fox
Distributeur :
Fox Pathé Europa

Date de sortie en salle: 23 Juin 2000
Durée du film : 1 h 52 minutes.
Acteurs: Jim Carrey Renée Zellweger

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Nombre de visites :
1205


   

Le Film : 7.5/10

Résumé : Charlie Baileygates est un policier souffrant de troubles de la personnalité. Apres avoir suivi un traitement médical, il se voit confier la mission d'escorter Irène Waters dans un autre Etat, ou elle est recherchée pour une grave violation au code de la route. Mais Charlie entame ce voyage en oubliant ses médicaments, permettant par la-meme à son alter ego dérangé, Hank, de refaire surface. Et lorsque les deux personnalités commencent a se disputer l'amour de leur belle prisonnière, Irène se rend compte qu'elle est finalement attirée... par les deux.

Avis : Schizophrénie : La schizophrénie est une psychose grave survenant chez l'adulte jeune, habituellement chronique, cliniquement caractérisée par des signes de dissociation mentale, de discordance affective et d'activité délirante incohérente, entraînant généralement une rupture de contact avec le monde extérieur et parfois un repli autistique.

Charly Baileygates est un bon père de famille, cet homme ordinaire passionné par son travail de policier et ses 3 fils (Jaamal, Lee Harvey et Shonte junior) vit d’harmonie et de paix dans le calme paisible de Providence joli bourg paumé dans l’état de Rhode Island. Ce tableau magnifique d’un père célibataire ayant pris la charge de ses 3 enfants avec bonheur est très fort émotionnellement parlant, ce film se pose d’emblée comme un ode à la paternité et au vraies valeurs qui font trop peu souvent d’un homme une exception. « Qu’est ce que tu raconte ! T’es carrément ravagé par la connerie ou quoi ?? Charly est un débile profond, tu crois que sans ça il se serait fait piquer sa blonde par un nain NOIR en plus ??? Attend elle devait être sacrément en manque pour lui préférer cette boule de nerfs vantarde dégénérée ! Et les gosses t’as vu leur touche ? Passés au cirage matin midi et soir tu y crois toi ? Il s’est bien fait baisé ton Charlie euh charlot non plutôt ?? 150 kg minimum chacun et jurant a la moindre occasion, pffff parle moi de paternité ça aura au moins le mérite de me faire dégueuler » Les années passant, Charlie vivait comme de coutume, répétant sans cesse les mêmes gestes et renouvellant le bail de ses habitudes chéries sans broncher sur un passé pourtant lourd de sens… Comment oublier que l’amour de sa vie l’avait laissé sans crier gare, comment oublier que les minutes s’écouleront dorénavant sans elle et comment se dire que la vie doit suivre son cours malgré tout ? Prend une bonne respiration Charlie et avale tout, y compris la clé… « Ouais c’est sur il l’a avalé la clé et ça a surtout eu le mérite de lui offrir une sévère constipation persistante pour ses vieux jours ! Avec sa gueule de coincé du cul comment tu veux qu’il se trouve une nana potable ? Crois moi mon vieux il a pas du s’amuser depuis belle lurette papa Baileygates et il a du en user des sets de draps à force de tirer sur sa bobinette (cherra lol) » Ce qui devait advenir arriva, Charlie un beau jour multiplia les déconvenues et ses concitoyens trop avares en politesses réussirent le tour de force de briser le cadenas… La colère, la frustration, les obsessions, le sadisme et la perversité toutes refoulées en leur temps à petites doses finirent par trouver une faille dans la coquille pourtant plus que résistante de ce bon Charlie… Il est temps pour lui de se reprendre en main et d’enfin régler ses problèmes… « Un peu non n’veu qu’il a des problèmes ! Même pas respecté par ses collègues, même pas respecté par les gens alors qu’il est flic ! Il est mou du genou, il a pas de vie, on se demande même comment il arrive à se regarder dans la glace cet abruti ! »

Bien conscient du poids que l’officier Baileygates (ou Evans selon le moment) est devenu pour la police de Rhode Island, son supérieur n’a d’autre choix que de lui confier une mission qui l’éloignera un temps au moins du terrain de ses nouveaux exploits pour le moins glorieux. Irène Waters jeune citadine de passage dans le coin et coupable aux yeux des autorités d’une grave infraction au code de la route doit être reconduite dans l’état voisin ou elle est recherchée. L’occasion est trop belle et Charlie sera responsable de son escorte… « Putain la chaance !! Comme quoi les maladies mentales mènent a tout… Trop bonne l’Irène mais ne me dis pas qu’il va se la faire quand même ! C’est un mollusque ce type ! Un bon à rien je te dis ! Même pas il trouverais l’entrée dans une piaule de 8 m2 alors avec une fille comme Irène c’est pas son hochet en surrégime vibratoire qui va l’aider ! GIVE ME A CHANCE ! Moi aussi je veux être schizo !! Lol » D’aventures en aventures et de rencontres fortuites en associations farfelues, Charly, Irène et Hank mèneront leur barque comme ils le pourront pour échapper à des tueurs, des flics, des flics tueurs et même un albinos complètement siphonné.

Bienvenue dans l’univers déglingué de Bobby et Peter Farrelly !

Profitant de l’occasion qui leur était donné d’offrir un rôle taillé sur mesure pour Jim Carrey « A part des grimaces tu sais faire quoi ?? Acteur surcoté va ! » Les frères Farrelly nous livrent une histoire saugrenue et déroutante mais bigrement bien pensée. Apres le formidable Dumb and Dumber « Ouais pas mal mais Lauren Holly c’est pas Renee Zellweger chez moi niveau trique ! » qui avait permis à nos 2 iconoclastes spécialistes de l’humour potache et dignes héritiers des frères Zucker de faire une entrée fracassante dans le microcosme hollywoodien, ce Fous d’Irène ne déçoit pas. Cette histoire d’un policier doux comme un agneau se muant peu à peu en une crapule à la verte franchise totalement déconnecté des réalités et du politiquement correct est un vrai bonheur pour les amateurs d’un humour gras, quasiment sans limite mais qui a le mérite de provoquer des fous rires incontrôlables. « C’est toi qui me fais marrer avec tes compliments à 2 balles qui tiennent pas la route ! Cite moi donc des exemples de gags réussis dans ton film pourri ! » La galerie de personnages extrêmement étendue donne des situations délirantes et absolument gigantesques d’un point de vue comique « Pfff tu pense qu’utiliser le terme « gigantesque » donnera une crédibilité accrue à ta critique de naze ! Tu crois grave en tes possibilités bigleux ! » Irène interprétée par une Renée « Bridget Jones » Zellweger absolument parfaite joue la sainte nitouche avec conviction. Sa partition bien que classique est sans conteste un bel atout pour le film. « Sainte nitouche mon cul oui ! Elle s’est faite ramoner le tuyau de chaufferie toute la nuit par l’autre gland et elle l’a regardé se goder sans broncher ! Tu parles d’une sainte ! Et Anna Nicole Smith c’était une nonne tant que tu y es ?? (Paix a son âme) Naturelle et enjouée elle nous communique une bonne humeur simple et sans fioritures en éclairant la pellicule de son expressivité toujours aussi charmante en toute circonstances « Euh tu te branles la ou quoi ?? » Jim Carrey est quand a lui comme de coutume excellentissime, il ne sera pas avare de grimaces mais son énergie en perpétuel mouvement nous évitera de le trouver trop joueur. « Ouais t’as raison, pour être bon acteur faut du talent et le mime marceau il l’avait le talent, pas Jim carré » Tout à fait dissociable des ses deux personnages, il reprend avec Hank une manière d’articuler très semblable à celle qu’il utilisa dans le rôle du « Câble Guy » de Disjoncté. « C’était pas mal disjoncté mais putain Jack Black cet acteur je peux pas le sentir ! IL GAAACHHHE TOOOUT ! » J’ai personnellement eu beaucoup de plaisir à le voir switcher entre ses deux personnalités en laissant le plus souvent le pauvre Charlie victime des turpitudes de son double démoniaque. Le placide Robert Forster est également présent au générique mais ne trouve pas un rôle très intéressant il faut bien l’avouer. « Il a une femme et 4 gosses ben oui faut leur payer le dentiste sans oublier un appart au grand et un studio d’enregistrement à la petite dernière qui a eu une révélation rock en se faisant vibrer les tympans sur Nickelback pfff » Son retour fracassant opéré dans l’extraordinaire Jackie Brown de Tarantino semble déjà oublié mais la sympathie et la confiance évidente que son regard inspire le place comme un second couteau honorable qui contribue à valider l’atmosphère agréable qui se dégage globalement du film. « Vas y rajoute encore des superlatifs tu vas y arriver à me faire chialer ! » Les enfants illégitimes de Charlie, surdoués de leur état sont eux interprétés par Anthony Anderson, Jared Mixon et Mongo Brownlee (acteurs n’ayant pas fait une grande carrière mis a part le premier nommé vu dans de très nombreuses productions) Influencés dès leur plus jeune age et sans discontinuer jusqu'à la période qui nous est contée par les pitreries télévisuelles de Richard Pryor, Arseniol Hall, Chris Rock et consorts dont ils auront hérité le langage ordurier, « et moi je suis une blanche colombe enculé ?! » leurs 3 personnages relativement peu importants pour la trame de l’histoire sont néanmoins de belles représentations opposées à certains lieux communs qui veulent qu’être afro américain ou obèse signifie aussi être mis au banc de la société. Ces trois la sont cumulards des « tares » précitées ce qui ne les empêche pas d’être des génies de haut vol en grande réussite scolaire. Ce clin d’œil sans doute voulu à ceux qui disent que l’environnement est souvent facteur de réussite ou d’échec se veux l’introduction d’une longue série de films sur la discrimination qu’entreprendront les frères Farrelly (L’amour extra large, Deux en un etc…) Shonte le papa biologique des gaillards (as du nunchaku, professeur en génétique moléculaire et accessoirement chauffeur de limousine noir et nain) ou « Blanche neige » dit Thierry la fronde (ceux qui ont vu le film comprendront lol ) jeune albinos solitaire devenu serveur dans un restaurant bio se veulent également des représentations inverses aux caricatures trop souvent employées dans leurs cas. Ce cocktail explosif est prétexte à de franches parties de rigolades orchestrées par une schizophrénie qui semble s’étendre à tous ces personnages placés en opposition constante avec leur statut habituel. Cela aura d’ailleurs le don d’exaspérer celui qui regardera ce film comme un spectateur borné incapable de rire lors de situations sans doute surréalistes mais à plus d’un titre pas mal pensées et ficelées de manière pas si courante…. « Je dois me sentir visé la ?! »

L’histoire de ce pauvre type qui rumine son amertume depuis plus d’une décennie est tout de même un bel exemple de la capacité des deux metteurs en scène à se foutre royalement de tout et de tout le monde. Charlie n’est pas un héros, pas plus qu’Irène ou tout autre personnage de ce film qui n’est en fait qu’un beau bordel digne d’un cartoon totalement déjanté ou les vaches ne meurent pas et les nains nous marchent sur la gueule ! Au niveau des gags purs et durs il faut bien admettre que leur vulgarité est certaine (entre les questions tres orientés de Hank à la pauvre Irène, son aplomb inimitable lorsqu’il s’agit de désosser la voiture de sport d’un handicapé, de s’en prendre à un pauvre gamin qui l’avait regardé de travers ou à une bande de footeux qui lui « niquent son ozone » le coup du god, les insultes exponentielles des fistons, la poule qui sert de suppo. le flagrant délit de masturbation ou la scène de la première colère (EXCELLENTE !) qui s’achève sur le plan d’une glace italienne d’une finesse incroyable (lol) sont autant de preuves que ce film ne fait pas dans la délicatesse ou le sentimentalisme… C’est gentillet, ça ne s’exprime pas dans des proportions moralisatrices (loin de la) mais c’est quand même sacrément acide et ça possède un charme extrêmement jouissif je l’avoue.

Fous d’Irène est un film comique qui possède de nombreuses qualités, son coté irrévérencieux et son quota de loufoqueries en tout genre en font une belle réussite du genre. La teneur de ses personnages aussi charismatiques qui diamétralement opposés aux banalités habituellement proposées dans un contexte scénaristique similaire en font un parfait complément de son frère ainé, le remarquable Dumb and Dumber. Sans être dithyrambique car ce film n’en mérite pas tant, j’admet volontiers avoir passé un rudement beau moment à voir ce meli mélo de dingueries potaches virant parfois il faut l’avouer au débordement mielleux (voir le final)

Il est vrai que les films des frères Farelly sont souvent limite niais sur la fin mais ce défaut n’en sera pas un pour tout le monde et beaucoup seront ravis d’avoir un bon Happy end des familles (écueil donc s’était néanmoins brillamment sorti Dumb and dumber) Quand l’intrigue policière qui sert surtout de prétexte pour amortir le coté road movie du métrage, ce n’est franchement pas une réussite mais elle restait malheureusement nécessaire pour donner un contenu crédible au scénario. Niveau défauts c’est a peu près tout…

Bon j’avoue bien volontiers que ma tendresse pour les acteurs castés ici est pour beaucoup dans mon appréciation sans bornes du métrage. Je me rend bien au constat que tout le monde n’est pas forcé de goûter les âneries ou les grimaces d’un Jim Carey branché sur 100 000 volts ou d’être sous le charme d’un visage aussi naturellement séduisant que celui de Renee Zellweger mais je n’y peux rien, ce couple là force ma sympathie. Vous etes ici témoins de ma loyauté envers ce que j’apprécie vraiment et c’est sans honte que je vous recommande de voir ce film pas si « terrible » que ce que certains laissent dire… Décoincez vous un peu, calez vous tranquillement dans vos fauteuil : 1,2 faites un exercice de gymnastique pour dérider vos zygomatiques et c’est parti pour presque deux heures de bonheur non stop !

Je croise les doigts pour que chez vous aussi la magie opère ;-)

P.s : Eh vous avez vu, l’autre connard a disparu ! Je suis guériiiiiiiiiiiiii ! lol


L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 1.85:1

Avis : Les couleurs sont éclatantes et la définition parfaite. Techniquement il y a vraiment peu de choses à reprocher à cette édition de Fous d’Irène. Artistiquement parlant, le panorama mi campagnard mi océanique de l’état de Rhode Island nous envoie une jolie carte postale d’une des contrées les plus agréables d’Amérique.


Le Son : 2/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 Français et Anglais - Sous-titres : Français, Anglais, Grec et Néerlandais

Avis : Un avis mitigé sur la répartition des canaux… Les nombreuses partitions musicales sont largement avantagés sur les dialogues ce qui n’est pas très finement joué pour un film ou l’humour et la cocasserie de certaines situations sont si importantes… Ceci dit il faut noter la formidable bande son aux accents folks toujours tellement présente dans les films des frères Farrelly avec en particulier la formidable chanson d’Ellis Paul : The World Ain't Slowin' Down.


L'Interactivité : 2/3

L'ergonomie des menus :
Une partie assez amusante de ce dvd puisque l’on pourra choisir son menu selon que l’on préfère donner sa pilule a Charlie ou non. Les menus sont trop peu sonorisés (seules les transitions le sont) mais ce petit gadget aura réussi à nous faire excuser cette lacune. Le film est chapitré en 15 segments ce qui est tout de même très peu…


Les bonus :

Un nombre de bonus conséquent et varié qui comblera les fans du film, on peux surtout regretter que le making of soit si court…. Dommage ! … (A signaler que le dvd de Fous d’Irène que je critique est un dvd d’origine suisse)

  • Spots TV : 3 Spots télé très courts (Charlie et ses garçons, les critiques approuvent et un mauvais policier) globalement sans aucun intérêt…
  • Bandes annonces : 2 versions différentes de la bande annonce du film en dolby digital 2.0 non sous titré.
  • Scènes inédites : Pas moins de 10 scènes coupées qui étaient d’ailleurs déjà montées au film. Il est tout de même honnête de souligner qu’il était plus que nécessaire de les couper tant elles apportent peu que se soit scénaristiquement ou au niveau des gags. 2 ou trois auraient sans doute mérité d’être sauvées (les 2 références à la pastèque et la scène du tracteur) mais le film est très bien comme ça !
  • Court Métrage : Une petite featurette de 6 minutes seulement qui débute comme une bande annonce et qui se termine comme un mini making of… Ca reste très frustrant car on sent que l’équipe s’amuse beaucoup, il n’est donc pas faux d’affirmer qu’on aurait aimé plonger d’avantage dans l’univers du tournage de ce Fous d’Irène…
  • Clip vidéo : Breakout des Foo Fighters, on pourra remarquer que Dave Grohl le leader du groupe aura mis à sa sauce les mimiques favorites de Jim « Charlie / Hank » Carrey et également pastiché une scène de Mary à tout prix pour les besoins du clip.
  • Galerie de photos : Une montagne de photographies issues du tournage ou du film assez agréables à se passer en diapo après le visionnage pour se souvenir des bon moments. Jim Carrey 4 photos, Renee Zellweger 5 photos, Chris Cooper 3 photos, Tony Cox 4 photos, Michael Bowman 2 photos, Mongo Brownlee 2 photos, Anthony Anderson 2 photos, Jerod Mixon 2 photos, Robert Forster 2 photos, Anna Kournikova 1 photo, Les frères Farrelly 2 photos, Bobby Farrelly 2 photos, Peter Farrelly 2 photos, Galerie de photos issues du tournage : 32
  • Coulisses de tournage : Voila ce qui est de très loin le segment le plus intéressant des bonus du dvd. On aura ici des images live du tournage de Fous d’Irène (6 scènes décortiquées lors de mini featurettes d’environ 5 minutes chacune) Ca fait très plaisir de retrouver toute la fine équipe dans des conditions idéales pour apprécier d’autant plus ce film dont le tournage semble s’être réalisé dans une convivialité qui force le respect. Très sympathique tout ça !
  • Commentaire audio : Un commentaire assez lancinant (On aura droit au listing quasi complet des figurants ce qui est assez pénible) Mis à part cet aspect du en grande partie au fait que comme de coutume les frères Farrelly font tourner nombre de leurs amis, relations ou membres de leur famille, ils nous communiquent leur enthousiasme et leur savoir faire de manière classique mais pas du tout prétentieuse. Il faut également noter leurs très nombreuses anecdotes sur les chansons du film ce qui prouve une fois encore à quel point ils sont attachés à leurs B.O


  • [ Voir les Bonus Cachés pour ce DVD ]

    Les Visuels : 0/1



    La pochette / Le packaging

    Boîtier amaray transparent classique. L’affiche est sympa sans plus, avec le visage de Jim Carrey face scindée en deux aussi candide d’un coté qu’inquiétante de l’autre… La tranche et l’arrière sont pas mal, relativement classiques et assez sobres. Il manque tout de même des photos un poil plus imposantes au dos de la jaquette…



    La sérigraphie

    La sérigraphie représente la pauvre vache qui eut le malheur de s’échouer sur le trajet de notre bon Charlie… L’idée pas mauvaise et la qualité de l’impression plutôt bonne font pourtant pale figure face a l’énorme rond central qui nous est proposé, aux logos certes assez discrets mais tout de même nombreux et au titre inscrit en français et en anglais ce qui doublonne assez maladroitement… Dommage…

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (14/20)

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