Peu de couleurs (rouge, jaune, orange, un peu de blanc) pour une sérigraphie qui approfondie l’atmosphère malsaine du métrage, que l’on retrouvera plus ou moins dans les oeuvres postérieures de Frank Henenlotter. On peut y « admirer » le légendaire panier en osier du métrage où y loge Belial (Martial dans la VF), un des héros du film.